Ma liste de blogs

Nombre total de pages vues

16 nov. 2011

Voyage de retour...et Le retour à la routine!


On n'y trouve pas parade à ce déplaisant décalage horaire.  Depuis dimanche tout est à l’envers.  Mais bon, il faut faire avec et attendre que notre horloge se règle à l’heure québécoise.  Et ce n’est pas facile!  Nous sommes samedi 
ça fait déjà une semaine que nous sommes de retour et encore ce matin nous prenions notre petit déjeuner à 4 h 45.  Tous les soirs au lit à 19 heures.  L’horloge elle est vraiment déréglée.  Accrochée au « mur » du Gabon?
Ah que cé loin le Gabon.  Je n'ai pas arrêté de le dire tout le long voyage.  Nous avons quitté le Méridien vendredi à 19 heures pour prendre un pot avec SG au Tropicana avant le départ.  (Une nouvelle découverte nous concernant.  Je l’ai noté dans mon carnet.  Siiiiiiiii nous retournons la-bas, cé certain qu’il sera dans notre tournée de resto.)  Et nous sommes entrer dans la maison le samedi 19 h 30.  C’est 24 heures sans dormir…bof disons 3 ou 4 heures en tout. 

Comme nous devions attendre 6 heures à Paris, et que j’avais de la place dans ma valise cabine (place que j’avais prévu au départ)  j’en ai profité pour faire mon magasinage de cosmétiques à la boutique hors taxes.  Pour la modique somme de 195$ j’ai un rouge à lèvres, un mascara, un crayon khôl Yves Saint Laurent et un mini-kit maquillage Clinique. Heureusement qu’il n’y a pas de taxes!    Je me suis aussi acheté un sac à main et pi une armada de mini-magazines féminins.  Mais j’ai aussi été obligé de m’acheter des paquets de Kleenex parce que mon thermomètre interne n’a pas pris le changement de température.  Le nez me coulait et j’éternuais sans arrêt.  Je ne supporte pas passer du chaud au froid en moins de deux.  C’est la rhinite à tout coup.  Et cé bin plate!!!!   C’est donc kleenex en main que je ne me suis pas interdit le magasinage.  Pas question de rentrer chez-moi sans mes produits Yves Saint Laurent.  Mes préférés.  Ici il faut aller chez Holt Renfrew pour en acheter.   

Le dernier vol, celui Paris Montréal a été un supplice.  Le pire jamais vu ni connu.   Des sièges tellement inconfortables et tellement coincés que je n’arrivais pas à lire mon magazine. Je pense qu’il y avait 6 pouces entre le dossier du passager avant et moi.    Pour tourner les pages, je devais soulever ledit magazine au-dessus du dossier du siège en avant de moi et pi ensuite « l’accoter » sur le dossier en question.  Plus « collé-serré » que ça on te mets en canne.  Et que dire des repas?  Beurk!  En fait c’était le même menu qu’il y a deux ans.  Même chnoute immangeable.  La première chose que nous avons fait en mettant les pieds dans notre chaumière?  On s’est fait des toasts au beurre de pinotte…  Ça’r’met’l’canayen ça j’vous le jure!!!

Et nous voilà de retour dans notre routine.   Dès lundi matin je suis allée au garaaaaaage faire poser mes pneus d’hiver.  Heureusement il a attendu notre retour pour s’installer l'hiver en question.  J’étais bien contente de ne pas voir de neige en sortant de l’aéroport. Le choc est moins fort.  Quant à Noël je vous dirais que nous ne sommes pas « dedans » mais vraiment pas.  Entendre les chants de Noël à la radio, voir les décorations dans les magasins nous laisse indifférents.  Hier nous avons acheté un joli sapin tout doré tout illuminé, mais rien y fait, nous avons encore les palmiers dans les yeux.

C'est sur ce dernier chapitre de mon Roman Librevillois 2008 que je vous souhaite de très joyeuses fêtes!

Je termine sur cette phrase entendue au Lycée Basile Odimba:

«Une femme n'est ta femme que lorsqu'elle est à la maison»


à la prochaine?