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11 mars 2013

MIAMI DAY TWO

Chaque matin c'est un grand plaisirs que de se lever.  De la fenêtre de la chambre nous voyons la mer...nos voisins...le soleil au rendez-vous

 et ça nous enchante.  Et pi moi, chaque matin je suis aussi enchantée de ne pas faire "à manger".  Je ne le sais pas encore, mais c'est le même enchantement TOUS les soirs de mon séjour.  Ma très chère Virginie, prépare les repas, elle prends bien soin de sa marraine.  Belle est la vie!

DAY TWO.  What do we do?

MIAMI DAY ONE

4 mars 2013

De bon matin, nous prenons notre petit déjeuner tout en savourant la vue magnifique qui  s'ajoute au décor tout blanc du condo.   Décor et confort vraiment agréable!  On arrête pas de le dire.  Et pi encore ici, je suis gâtée, ma toute charmante Virginie a tout préparé.  Je n'ai qu'à faire comme chez-moi, m'attabler et manger.  Elle est pas belle la vie au Unit 4109?  Yes madame!

J'ai apporté mon iPad surtout pour nous servir de GPS.  Je n'ai qu'à regarder sur Google map où nous sommes, taper où nous voulons aller, et Virginie note les rues à prendre.  Ce matin nous prenons Biscayne Ave, tournons Flagger street et nous y voilà.  Nous calculons + ou - 20 minutes de marches.  Pour y aller bien sûr.  La journée ne fait que commencer.

First Night!

First night in Miami (prononcé "mailleami" please)

Le tour de notre propriété fait, l'émerveillement devant toute ce luxe fait, il est 17 h 45, la faim nous gagne.  Comme nous ne connaissons rien de not'quartier Dowtown Miami, et que le but de louer un apart est de manger "à la maison" et non pas au restaurant, il nous faut trouver un supermarché.  J'ai mon iPad pour m'informer.  Il me dit qu'un PUBLIX est à 0,8 miles du Icon.  Virginie note les rues à prendre et nous partons.

Veni, vidi, vici

Guy de Maupassant écrivait:  Le voyage est une espèce de porte par où l'on sort de la réalité comme pour pénétrer dans une réalité inexplorée qui semble un rêve.  Avant de partir, j'écrivais que de découvrir Miami était un rêve.  Veni, vidi, vici!

D'habitude je compose mes récits sur place.  Ce séjour-ci, impossible pour moi de le faire et pour deux raisons.