La Mercedes est stationnée
au Hilton Dorval. Et à bord de la navette dudit hôtel, El Experto
et La Senora LaMejor sont en route pour l’Aéroport Trudeau. Il est
5 heures le matin, parce que Bin Laden en a décidé ainsi pour la
planète: il faut arriver 3 heures avant le vol. Le nôtre est à 8 h
15. Nous étions certains qu’à cette heure seuls les
« employés » de C. Inter se pointeraient au guichet
Mexicana. Oh Surprise!
il y a une longue, très très longue ligne d’au moins 150 mexicains. Oh la la! 150 chariots avec 2 ou 3 grosses valises et remplies à ras bord por favor. Nous remarquons que femmes comme hommes sont de petite taille. Ah bin…gâ’don’si’cé’bizarre! Les Mexicains sont petits?
il y a une longue, très très longue ligne d’au moins 150 mexicains. Oh la la! 150 chariots avec 2 ou 3 grosses valises et remplies à ras bord por favor. Nous remarquons que femmes comme hommes sont de petite taille. Ah bin…gâ’don’si’cé’bizarre! Les Mexicains sont petits?
Et perdu dans la
file, je ne vois que 3 ou 4 « Québécois zé Québécoises » (pour parler
comme les bloqueux du Bloc) et pi nous deux. Nous avons choisi pour
voyager; LE jour où les ouvriers agricoles Mexicains rentrent au
pays. Vous savez ceux qui viennent faire la cueillette des légumes
pendant que les « BS en camisole » sirotent leur Corona en attendant
le « premier » du mois? Le groupe d’aujourd’hui a cueilli
des choux-fleurs. Ces vaillants travailleurs retournent à la
casa, les poches pleine de « dolares ». Et c’est
très bien! Les agriculteurs sont contents et les Mexicains itou.
Comme le dit mon amie Pauline : que demande le peuple?
Et oh surprise supremo!
c’est de les voir tous calmes, disciplinés, en ligne, je ne dirais pas bien
droite mais presque. Personne ne se bouscule, ni ne TE bouscule ou tente
de prendre ta place. Ils parlent tout doucement, chuchotent
quasiment. Le portrait de ce matin est « tout à fait »
différent de ce à quoi nous sommes habitué. (Note : j’ai
« parenthésé » le toutafê je déteste cette expression) Il
y a confusion ici. Nous sommes plutôt familier au bordel
total devant les guichets.
De ligne il n’y a pas mais un
attroupement. Soudain un "étranger", mine de rien, tasse son chariot devant le
tien et petit à petit arrive son frère, pi son père et pi sa femme avec le bébé
qui braille dans les bras et l’autre petit qui se bagarre avec sa petite
sœur; ils ont tous pris ta place! Comme si passer devant nous donnera une
meilleure place sur l’avion. Tel n'est pas le cas ce matin à
Trudeau. Nous sommes en bout de ligne et nous attendons l’ouverture des
guichets Mexicana.
L’heure de
l’embarquement venue; à la demande de l’hôtesse du
« ticketing » au moment où elle dit en espagnol :
« les voyageurs des sièges entre 28 et 16 sont priés de se présenter à la porta
por favor : l’image connue, au Maroc pour donner un exemple, en est une
« genre-comme » : tous les passagers de tous
les sièges se garochent au tiketing. Ici non, seuls les passagers
concernés se lèvent, les autres restent bien assis, tranquilo, en
attente de leur tour. Deux québécoises par contre se sont présentées dès
le premier appel et elles se sont fait « barrer la porte ».
Dernière constatation étonnante, tout au long du vol cé qui qu’on a entendu et
parler et rire beaucoup plus fort que les autres et tout au long du voyaaaaage?
Hé oui! les 2 québécoises! Les 2 mêmes nounounes qui se sont
présenté au premier appel.
Enfin l’Airbus
A-320 vol MX881Y et les deux passagers des sièges 6A et 6B décollent. Je
passe les commentaires du genre : cétê bon ou cétê pas bon;
mal assis bien assis, grosso modo c’était bien, p’tit dèj
compris. Et puis, 5 h 35 plus tard, l’avion se pose sur la
piste; Bienvenidos a Mehhhhhhhicoooo! Surprise encore une
fois, décidément c’est le voyage « de surprise en
surprise » : l’aeropuerto dé Mehiiiiiico, est immense,
propre, chic, riche, bondé de boutiques hors taxes haut de gamme. La
Senora se promet bien d’en faire le tour à son départ. Voilà! Nous
voici devant le tapis roulant, toujours avec cette espèce de peur et son
questionnement : « aurai-je ma
valise ? ».
Ici commence une
histoire triste sur un air de « déjà vécue ». Ce voyage-ci, ce
n’est pas la triste histoire de l’Expert mais LA mienne : JE
N’AI PAS MA VALiiiiiiiSE! (et au jour où je vous écris mardi
le 23, 14 h 50 ne l’ai toujours pas). En fait on est une
cinquantaine qui attendent en ligne aux « litigios maletas ».
Un Canadien qui parle espagnol nous dit qu’à Mourial le Pilote a trouvé qu’il y
en avait assez de valises et que c’etait trop lourd alors on en a laissé la
moitié des bagages à Dorval. Je me rappelle, dans la salle d’attente de
la Porte 60 à Trudeau, André et moi étions assis devant la fenêtre avec vue sur
l’Airbus A320 Mexicana, et soudainement on a vu les bagagistes sortir des
valises de l’avion et les remettre dans leur camion. Et LA MIENNE ETAIT
PARMIS ces valises @#$%?&&ssssstie!
Je suis très
inquiète parce que comme j’ai une très belle (lire très luxueuse) valise, je
doute de la revoir un jour. L’humeur de la Senora, vous l’aurez
devinée, n’est pas belle à voir. Alors rendu au guichet, un senor me remet une
feuille jaune sur laquelle est déjà inscrit mon nom et numéro de bagage et il
me dit : « telefono manana au numero 1 800 XXX
XXXX . Como se dice « querissse » en
espanol? Je l’ai dit en québécois et pi j’n’ai pas jussssse dit
querisse…j’lé’zé’toute’énuméré… La sainteté totale quoi!
Ça commence bin
mal un voyage. Bin bin mal. Porque voyez-vous non seulement TOUT
est dans cette valise : maquillage, démaquillage,
vêtements/sous-vêtements, souliers, sandales, bas mais oh malheur oh
désespoir : mon très fidèle compagnon, mon livre, celui que
j’avais choisi amoureusement pour occuper mes « momentos
libre ». Désolation totale à Mehhhhico j’vous jure! Je n’ai
que mon briefcase et mon iBook G4, mon ticheurte, mes jeans, mes bas et mes
sabots, un veston, sans oublier mes sous-vêtements bien sûr et que je porte
depuis lundi matin. Ici s’arrête ma guardarropa! Et dire que
demain soir, je suis invitée avec A, au souper des Directors!
Trois jours avec les mêmes vêtements? Ça va sentir bon! Aussi bien
m’asseoir toute seule à une table! Ha ha! Mais bon, je ne vais pas rester
planter à l’aeropuerto et ruminer todo la dia. G. et Carlos
nous attendent. Et avec tout le temps perdu, ils doivent se demander si
L’Experto es sur le vol 881. En passant, ledit Experto, LUI, il est
bienheureux d’avoir et sa valise mais aussi et surtout la boîte bleue qui
contient tout son matériel pour son Séminario. Chanceux!
Dit-elle.
Je raconte
« ma dolor » à nos deux Mexicains et G. me dit tu
l’auras ta valise, ne t’inquiète pas. No hay problema! Tu as
André? c’est ça qui est important. Ne soyons pas material!
Bon, vue sous cet angle, je ne m’énerverai pas pour ce soir. Pendant
qu’il me dit ça, Carlos prend ma formule et téléphone à Mexicana.
Semblerait que demain je recevrai ma maletas…Foi de Carlos. Il met la
feuille jaune dans sa poche, et il s’en occupe! No hay problema!
OK! Ici commence la mission C. Inter à Mexico
City.
En sortant
de l’aeropuerto, j’ai en mémoire qu’en 1985 il y a eu un tremblement de terre
le plus meurtrier du 20e siècle où 10,000 personas sont
morts. - G.? Ça bouge pas là? Non non c’est la rue qui
est en mauvais état. Ahhh bon…OK!
G. avait, par
email, suggéré à A. de nous faire visiter un peu avant d’aller nous
reconduire. Il est 14 heures. A. lui avait dit que nous
préférions aller à l’hôtel pour d’abord défaire NOS valises, prendre le pouls
de notre quartier en marchant sur la calle Londres et caminar
autour de la Hotel Geneve (Hhhhhhénééééévé). Mais Hhhhhhérrrrrarrrrdo en a décidé autrement. Voici son
programme: nous irons à Teotihuacan, première grande métropole construite
sur le continent américain : s’y trouve les Pyramides de La
Luna et d’El Sol, (y paraît qu’on en oubli l’Égypte). Après
nous irons manger dans un p’tit resto juste devant ces pyramides et pi ensuite
au Club Med, pour y boire un café. L’agenda nous a plu.
Après la traversée
de la ciudad de Mehhhhico, je vous passe tout ce que nous avons vu de Museos,
de Palacios historicos, de Catedral, el Bosque de Chateputepelc y son Palacio
(il est tout près de l’hotel) et encore et j’en oubli tellement il y en a
de monuments historique. Enfin, nous voici sur el perifico et
passons devant les dites pyramides. Clic Clic pour 2 ou 3 photos.
Comme notre séjour est court, les visites seront pour le suivant. Et
ensuite arrêt au resto, devant nous le serveur dépose : 2
petits verres et une assiette de morceaux de lime : « les
3 couleurs du drapeau mexicain » que nous dit not'amigo : vert
(lime) blanc (tequila) et rouge (jus picante). Tu prends une lime,
de tes dents en gratte un peu de jus mais tu n’avales pas; tu prends
après de la tequila et tu n’avales toujours pas et après le jus rouge, tu
mélanges les trois et voilà le « drapeau » s’avale. Il est mucho
picante le drapeau en question. Pour en avoir beaucoup bu
« quand j’étais jeune » je connais l’effet de la Tequila. Je
vous raconterai un jour, ma première sortie avec mon A., à Québec au Château
Frontenac.
Revenons a Teotihuacan au resto Mi Mexico Lindo:
Je n’ai pas tout bu…L’Experto si. Je préfère le vino rosso. Les alcools
forts très peu pour moi gracias! J’ai l’habitude de vous décrire les
menus? Je ne vous parle que du « especial » :
après la sopa de pollo con cilantro, arrivent dans une assiette des
tranches de cactus gratiné que tu mets dans une tortillas bien chaude; tu
roules et les deux convives trouvent ça délicieux! Comme
chante Jacques Brel…et "ooooo suivant": un grand bol avec dedans un
espèce de « bouilli » de chèvre et légumes, toujours picante,
qu’on met, encore ici dans l’incontournable tortillas chaude, (on en mange même
au p’tit dèj) roule-mange-et este mucho delicioso tambien et
ooooo suivant : una « galetas » faite avec des
haricots et farine de maïs pero que je n’aime pas. Voilà pour le
lunch de la pyramida de la luna!
Bien rassasiés,
direction Club Med. Ce Club est une ancienne Hacienda (celle de Pancho
Villa?) qu’on a transformé en hôtel 5 étoiles et un très bel endroit!
Chic, avec décor somptueux et Mexicain on ne peut plus. Ici on est
vraiment au Mexique! Et Club Med oblige, d’un luxe! Nous avons pris
place à un des bars du club, lumière tamisée, décor de rêve, un nuage de
bonheur flotte à Mexico City. Il reste que j’ai toujours mon
malheur en tête : Manana, j’aurai toujours les mêmes
vêtements. Ah yaille yaille! Je le « aspirar » (humer)
déjà ha ha ha!!!! Voyager, ce n’est pas tout le temps
agréable. Des moments tu es au bord des larmes et pi d’autres, comme
celui au Club Med, tu voudrais ne plus partir, être « ailleurs » est
tellement envoûtant!
Comme toute bonne
chose a une fin, nous demandons de rentrer à la hotel. Not'amigo nous dit
que les Mexicains passent leur temps dans le trafic. Ils vivent dans la
voiture. On est chanceux, sur notre côté de route et à cette heure
il n’y a pas de trafic. Ainsi, on rentre sin problemas a la Hotel
Geneve. C’est un des plus vieux hotel de Mexico. Récemment
réaménagé, il a conservé son 5 étoiles. On a gardé son cachet
ancien et c’est grandioso. habitacion 421. Suite spacieuse, très
propre, meubles tipico mexicanos en bois sculpté et côté cour por
favor. Ce qui est préférable porque la calle Londres es tres
animar.
Vous croyez que
G. nous a dit : hasta manana? Hé bien
non! À tout de suite....le temps que A. dépose sa
valise et on repart. La journée ne se termine pas ici. Et comme je n’ai
pas ma valise, je m’en foute carrément : comme la chanson
dit : aaaaaaaamenez-moi au pays des merveilles! Je ne me
rappelle pas l’heure, probablement qu’il était 19 h 30? Enfin, nous
passons chez Marina, la Mama de Gerardo. Une Mama tres especial!
Une riche veuve, et elle aime La Fiesta! Elle est la « René
Angelil » de beaucoup de chanteurs et chanteuse de Mehiiiiiiico.
D’ailleurs elle m’a donné des CD de ses chanteurs. Et avec elle nous
allons à la fameuse Plaza Grimaldi haut lieu de la musique populaire
mexicaine. Ici les Mariachis « ou les costumes rutilent autant
que leur cuivre » (lu dans mon guide) chantent una cancion de
leur région aux mexicains mélomanes, ou pour impressionné une fiancé, ou
réjouir la famille enfin bref il y en a pour tout le monde même les
touristes. Mais nous ne restons pas dehors, este mucho frio nous
nous attablons à la Taverna Tenempa.
Et ici commence toute une
soirée : Un mardi soir à Mehhhhhico! Un autre monde
qu’un mardi soir à Sherbrooke je vous jure! Ah yaille yaille! Mama a fait venir « sa » chanteuse, et 2 orchestres de
Mariachis autour de notre table et ils l’accompagnent, et la Mama me dit :
Es un regalo para ti! (c’est un cadeau pour toi). Faut dire
qu’entre elle et moi le courrant passe. On rit, on s’amuse, j’vous
dis c’est la Fiesta a la Taverna.... Toute une
soirée! Ah yaille yaille. A. me dit à l’oreille : si
on habitait ici, on viendrait tous les soirs. Si Senor!
Bon, je ne vais
pas vous raconter toutes nos sorties. On bouge tout le temps. On
est jamais à l’Hotel. Not'amigo nous a vraiment « kidnapé » comme
il dit. Visite par-ci, dîner par là. Et La Senorita (je dis
maintenant Seronita (mademoiselle) parce que not'amigo dit qu’on ne dit jamais
Senora (madame) pour ne pas insulter les dames). Donc el Senor et la
Senorita La Mejor se couchent à minuit/une heure le matin. Et ça
recommence le lendemain.
VENDREDI (je ne sais pas quelle date)
J’AI REÇU MA
VALiiiiiiiiiiiiSE! C’est
Carlos qui me l’a récupéré. Sans lui je suis certaine que je ne l’aurais
jamais reçue. Carlos ne « niaise pas avec la poque » comme on
dit dans la « langue de chez-nous ». Je vous raconte la saga en
bref :
Depuis mon arrivée
que Carlos (ou sa femme) telefono à Mexicana pour savoir si ma fameuse
maletas est arrivée. On réponds au telefono que non. Qu’à
cela ne tienne, il est allé lui-même à la Direccion de Mexicana Bureau
de l’Aeropuerto et il les a engueulé. Porque? Parce que on
ne regardait que sur l’ordinateur si le numero de la maletas était coché
« arrivée ». Enfin pour faire court, il les a engueulés disant
qu’un ordinateur ce n’est pas une personne et il a obligé un préposé à vérifier
tous les bagages arrivés. ET MA MALETAS ÉTAIT LÀ! Je crois
bien que je ne l’aurais jamais revue sans lui. Il me dit qu’elle avait été mise
de côté….il faut comprendre : en vue de la voler! Inutile de
vous dire que je lui ai sauté au cou, à mon très gentil Carlos!
A. m’avait dit
au téléphone, vers les 16 h 30 que je n’avais pas ma valise. Ici vous
m’auriez vu pleurer. J’étais vraiment découragée. Souper avec les
Directeurs en « souillon » était impensable pour moi. T’as beau
prendre ta douche, te mettre du parfum, des bas sales vous savez ce que ça
sent? J’ai dit que je n’irais pas à ce souper. Ce qui ne
faisait pas l’affaire de not'amigo. La Senorita doit venir ce soir!!!
Il est donc venu me chercher pour que je puisse m’acheter ce que je veux dans
une boutique d’une Plaza quelconque. Mais le destin et Carlos on changer
le programme : nous quittions l’hotel quand Carlos a téléphoné
pour dire qu’il avait ma maletas et venait me la porter. Vous m’auriez
vue avec une « banane » mais alors là, jusqu’aux oreilles! Viva
Caaaaarloooos!
MAIS j’étais
contente et pi pas « toutafê ». André me dit que Carlos
avait obtenu de la Direccion de Mexicana le OK pour que je m’achète TOUT, Té O
U Tout ce que je voulais: Roba, jeans, des sandales, des bas, du
maquillage/démaquillage; enfin bref me remplir una maletas au complet!
Un petit moment de « contente-pas-contente » a passé. Mais
quand dans la chambre je refaisais connaissance avec ma belle petite robe
noire, mes sandales noires, et le reste…. PI MON ROMAN…j’étais TRES
CONTENTE!
Bon, voilà une
petit passage dans notre vécu mexicain. Nous allons très bien. Tous
les jours, G. nous amènent dans les restaurants les plus chics et plus
chers de Mehhhhico. Mardi matin on a déjeuner dans un petit hotel
« Hotel Viejo » ou les chambres sont à 500$ la nuit. Le
Propriétaire est le père d’une ex-blonde et c’est elle qui a fait la
décoration. Je devrais dire qui a tout réaménager au complet.
C’etait un très vieil hotel et elle l’a transformé en 8* à mon avis
tellement c’est maravilloso!
Quant aux
restaurants, tous ceux où nous sommes allés étaient super. On mange
surtout du poisson et me concernant des fruits de mer :
octopus, pétoncles, crevettes! Et je n’ai pas la tourista….et c’est tant
mieux!
Hier j’ai reçu un
très très beau régalo : G. m’a amené au mercado de artisanas
pour m’offrir un ensemble collier/bracelet/boucles d’oreilles en argent avec
opales mexicaines. « tu choisis je paye ». Mais tout
d’abord il a demandé : « A. tu permets que j’offre un bijou
à ta belle dame? » . Il a pas eu le temps de répondre, la
belle dame a dit OUI.
Et tu parles espanol? Je me débrouille. Je prends un mot français
et le prononce à l’espagnole et ça marche.
Exemple quand
je dis: Je suis intelligente; je
prononce : Soy innntélirrrrhhhhhhenté! Et ils me
comprennent…non seulement ça…ils approuvent! HO HO HO!
Hasta Luego!