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1 nov. 2011

ÉLUCUBRATIONS LIBREVILLELOISE!


JEUDI LE 11 MAI 2006

Vous me voyez toujours étendue sur ma chaise longue sous mon parasol à la recherche d’histoires à écrire dans mon carnet. Et à ce jour, aucun scénario intéressant alimente mon imagination. Avouons que j’ai beaucoup dit sur Libreville.  J’ai beaucoup dit…point!  Il me semble que je vais radoter si je parle de not’vécu Librevillois.  Voyez-vous, il est « copié coller » à celui de 2005.  Nous sommes bien, nous vivons bien, nous mangeons et buvons très bien, « Le Couple » se la coule douce chaque jour qu’Allah fait!  Un mois sera vite passé.  Enfin, ce n’est plus un mois :  si je regarde mon calendrier, là à côté de mon iBook G4, il ne nous reste plus que 20 jours de farniente, du moins me concernant.  Farniente ne s’applique pas à LLLLLLL’Expert entre 7 h 30 et 15 h 30 non-stop.  Il en revient « cassé ».  Vivement une bonne bière très fraîche un sandwiche et RRRRrrrrrrron  RRRrrrrrron pour un bon 30 minutes. 

Vous parler de son boulot? 




 Il bosse fort Monsieur L.  Il a les mêmes formateurs, moins l’illettré de Port-Gentil.  Mais l’innéfable A lui, il y est toujours.   Il assiste LLLLLEXPERT dans sa formation et après ajustement de leur première rencontre, il l’assiste très bien.  Comme il a assisté à tous les séminaires et ce depuis 2002, L’APC version Monsieur C il connaît quoi! But n’allons pas croire qu’il est devenu le « gentil A »  Ah ça non!  il est toujours fidèle à son personnage :  là où il peut « freiner », il n’hésite jamais à le faire.   Exemple :  il est responsable des achats du projet.  C’est lui qui a reçu « la cagnotte » quoi!  Est prévu au budget l’achat d’ordinateurs.  Est alloué 600,000 francs par ordinateur.  On en a besoin de 3.  Dans le journal l'UNION on annonce, en première page, à la boutique MÉCA Gabon un ensemble DELL, 548,000 francs TTC.  L’ineffable A.... dit que la publicité est fausse.  Selon lui, partout dans Libreville, l’écran ni le clavier est inclus à ce prix. – Tu es bien certain?  - Oui Oui je suis allé partout, pour ce prix;  pas d’écran pas de clavier!  - Ahhh bon! 

Revenons dans la salle  du quartier OLOMI  au Lycée ODIMBA :  



se sont ajouté au groupe, 3 formateurs :  des Espions du « groupe concurrent » ?  Et,  bien sûr, il a les mêmes fainéantes qui chialent toujours « genre comme » :  «les chaises sont pas assez confortables pour nous qui avons eu des zzenfans, alors, monsieur L,  on n’est pas pour passer nos journées assise sur ses petites chaises droites!  Dites donc, on ne pourrait pas avoir des fauteuils? ». 

Hier soir, au resto Ting-Ting tout en mangeant nos pinces de crabes sauce piquante et langouste sautée à l’ananassssssssss; en prenant une gorgée de mon Listel Gris, (un p’tit rosé qui se laisse boire) LLLLL’Expert m’a dit qu’il en a appris une bonne.   - Tu sais qui est la fainéante en chef, qui depuis la première mission, ne comprends rien, ne foute absolument rien, ne pense qu’à copier mais reste néanmoins assidue à la « pause-café croissants »?  Réponse : Madame la fainéante en chef est l’épouse de l’innéfable A.  Et le comble?  Elle prendra sa retraite l’an prochain. Comme disent les ticounes :  « cé tu assé fort? »

Et si je parlais des « gens d’armes »?  Contrairement à l’an dernier, en 15 jours, nous avons eu qu’un seul contrôle de « gens d’armes » comme l’écrit mon ami Makaya.  Je dis nous, mais mon’népou était seul.  Le même coup de sifflet; HHHHHuuuuuittttt, la matraque qui ordonne de se garer sur l’accotement. A.  baisse sa vitre. Voici la conversation :

Le gendarme- Bonjour!
A. - Bonjour! 
Ici un long silence, les deux ne parlent pas.  Le gendarme regarde A. et lui souri et dit  -Oui?  A. répond :  Oui? 
Les deux ne parlent toujours pas.  A. dit – Contrôle de papier?
-       Non Non Non, on ne demande pas les papiers à son grand-père, mais vous savez, le soleil, la chaleur, je souffre! 
D’un geste familier, A. sort le billet de « 1000 doliès » (je cite Makaya) du cendrier et dit :   « et avec ça, ça ira mieux? »  tout en lui tendant le billet.   À ce geste, voyez « la banane » qu’affiche le policier sur son visage et entendez :  - ahhhh oui!  Merci grand-papa!   Fin de contrôle! 

Tiens, une idée me vient en tête.  J’ai une petite histoire à vous raconter.  Elle commence en 2002, la Première Mission du C au Gabon.   On avait engagé la très excellente Société C Inter pour un séminaire de 9 semaines sur « La sensibilisation à l’APC »  Comme Monsieur C,,,,, est LLLLLL’Expert AU Canada en APC, c’est donc lui qui a fait cette mission et il n’est pas passé inaperçu auprès des Gabonais. 
Ils disent :  « Comme nous pouvons parler à Dieu en direct, pourquoi passer par ses saints ».  Ce qui fut fait.  Dieu est revenu les années suivantes.   Et c’est ainsi que nous sommes revenus à Libreville les années suivantes. 

À cette première mission (2002), G. travaillait comme Responsable des PME ou que’qu’chose du genre.    Nous avons fait connaissance dès le premier jour.  C’est lui qui était venu gentiment nous chercher à l’aéroport et nous avait conduit à l’hôtel Rapotchombo.  Un hôtel 2 étoiles choisies par sa société à lui pour loger leurs Coopérants.  Cette « vieille épave » ne nous plaisait guère, mais, comme nous ne voulions pas « lever de poussières » because c’était la première mission du C... au Gabon, nous avons « enduré » la vie dans un 2 étoiles. Et le séjour fut malgré tout des plus agréables.  Comme LLLL’Expert était à l’époque dans le camp ami, parce que considéré comme Coopérant du cette société,  M et G nous invitaient à dîner quasiment tous les samedis.  Le dimanche, nous les accompagnions à la magnifique plage de Santa Clara.  Enfin, bref, nous étions des zzzzzamis!

Personnellement, j’ai eu « le coup de foudre » pour M.  Une dame fort charmante, avec laquelle je m’entendais très bien.  Nous avons communiqué ensemble par email depuis ce temps.  Elle habitait à Cotonou ces dernières années.  Et voilà-ti-pas qu’en 2006, nous nous retrouvons encore une fois, ensemble à Libreville.  Jusqu’ici, tout va bien dans le meilleur des mondes.  Sauf que, en 2006, G. est engagé comme DIRECTEUR du Projet au Gabon.  Ooooupppssss!  On fait la déduction? A.=C.... et G. =C.S.J.R;   C.... vs CSJR = ennemi (selon le connard du DG dudit CSJR).  N’avons-nous pas ici les ingrédients pour faire de la bisbille dans la relation?  Bien heureusement non!    Un certain samedi soir, "Le couple" mangeait du Confit de Canard chez M et G.  Le couple avait apporté un Lalande de Pomerol – Château Haut Châtain 2001 pour fêter les « retrouvailles ».  Et comme chaque rencontre avec eux, ce fut une soirée des plus agréables.

Il y a des gens qui sont assez « matures » pour faire différence entre travail et amitié.  Ça semble être le cas pour A. et G.  Mais, quand même ni l’un ni l’autre ne se fait de cadeau.  G. demande à A. :  au boulot ça va?  -Oui, et toi?  - ça va!  LLLLL’Expert reste vague dans ses réponses.  Jamais rien de précis.  Et l'autre fait de même.

Et c’est ainsi qu’en 2006, M. et Suzanne lézardent ensemble à la piscine de la Princesse, votre très humble correspondante.   M. qui d’habitude va à la piscine du minable Rapotchombo en décrépitude et ce parce que les Coopérants du CSJR y séjournent, (ainsi que leurs zzzzépouses) M. a pris un abonnement d’un mois. (125$ au Méridien -  40$ au Rapotchombo)!!!! Imaginez, elle doit se faire bronzer sur une chaise longue en PLASTIQUE!  Quel horreur!  Comme elle est aussi « pédante » que son amie La Princesse, allongée sur sa chaise transat  en teck qui se trouve sous un parasol de marché en toile et support en tek, le premier jour elle téléphone à son amie Micheline  qui est maintenant assise seule sur une vieille chaise en plastique jaune qui jadis était blanche et son coussin défraîchi dont on ne sais plus la couleur d’origine et elle n’a pas de parasol.  J’entends donc M. dire – Allôôô Mich’liiiiine qu’est-ce que tu fais là?  Et Mich’liiiiine, j'imagine de répondre:  Je suis dans ma chambre, il n’y a plus d’eau dans la piscine depuis une semaine.  -  Ah pôvre toi, moi je suis au Méridien, j’ai pris un abonnement.  Je vais passer un mois avec Suzaaaaane!   Et M. l’a invité à se joindre à nous si elle le désire.  (À date elle n’est toujours pas venue).

MARDI 16 MAI 2006
Nous avons fait une sortie inusité vendredi dernier.  Toujours en compagnie de nos charmants amis M. et G., nous sommes allés au Casino Croisette.  En plein centre ville au bord de mer.   D’abord parce que la bouffe est à moitié prix entre 19 heures et 21 heures et que nos amis disaient qu’elle était très bonne.  Nous concernant, aller au Casino n’est pas tellement notre tasse de thé mais bien manger si. Allons voir si c’est vrai!  Malgré le vacarme infernal d’une salle de Casino, l’assiette de saumon fumé, en plus d'être généreuse, était savoureuse,  la salade dont je ne sais plus le nom aussi et le vin plus que « buvable ».  La soirée a donc commencé sur une bonne note.  Qu’en est-il du Casino maintenant?  Croyez-le ou non, on s’est bien marré, et aux machines à sous plus précisément.  J’ai gagné 24,300 FCFA (52.82$).  Le plus capotant était d’entendre les « clac clac clac clac clac » des sous qui tombaient!  Ahhh vraiment on a bien aimé!  But, il reste toujours que ce n’est pas notre tasse de thé, le Casino.  On ne s’y abonnera pas.  Veni!  Vedi!  Vice! 


Bon, il est 9 h 45.  Le Pressing est passé. Les zzzzzzautres vont venir.  C’est le temps que j’aille me baigner.  Et je n’ai plus de place pour écrire… Bye Bye à+