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15 nov. 2011

LA ULTIMA SEMANE A Mehhhhhico- Chapitre 3


LUNDI 7 AVRIL 2008
Esta mi ultima semana. Soy muy triste! Avant de commencer, je dois faire une correccion, me disculpe; je ne dois pas escribir mi nombre : LaMayor mais LeMejor. Mayor veut dire plus et Mejor veut dire mieux. Bon, je sais bien que je pourrais écrire los dos : Lamayormejor, (la plusssssssmeilleur) mais bon, soyons humilde (humble, une de mes grandes qualités) et utilisons celui qu’on m’a donné à ma naissance. Ssssssusssssannna LeMejor.

Où allons nous aujourd’hui? 




Nous commençons par le deuxième tour du fameux du Turibus. Sabado, nous l’avons repris pour aller au Zocalo. Vous vous rappelez? Le Zocalo, c’est le CENTRO. Le centre-ville des rues de boutiques de tout genre mais aussi le centro historico : Catedrales, Palacios, Hosteles, y otras vieilleries en quoi? En pagaille! Ma primera interès de la dia es de comprar mi régalo d’anniversaire. Le 15 marso passado, je vieillissais d’un an. J’avais dit à A. de ne me comprar nada à Sherbrooke : tu me l’achèteras à Mehhhhhico. C’est fait. 

En passant devant la boutique Bulgari, une Lunetterie haut de gamme, une paire de lunettes de soleil m’a interpellée! Comment résister devant des Versace, qui après essai, tu te rends compte que c'est LA paire. –Tu ne veux pas en essayer d’autres? No, c’est celles-la. La signature Versace bien évidente « en diamants » qui «flash» sur les côtés c’est en plein mon genre! A es afortunado, hoy un descuento de 20% sur des lunettes à 3990$ (pesos). Les Versace, après négociacionnnnn de la fêtée, ne lui coûteront queeeeeeee 3195$ (pesos). Una ganga (aubaine), considérant qu’à Paris j’en avais vu à 375 Euros. Va sans dire, la fêtée « faisait sa fraîche » dans les rues du Zocalo avec ses Versace. Malgré la teinte foncée des verres, cela ne m’a pas empêchée de voir, dans una otra vitrine de una boutica de zapatos, des sandalias que estan muy linda! Comme je n’ai pas trop d’espaces libres dans ma « grosse poche qui fê dur », je me suis contenté queeee de dos paires. Faut dire qu’au SUBURBIA, j’en ai aussi acheté une autre. (Je suis comme Imelda Marcos et Céline Dion, j’achète des chaussures!). Et pi une roba, et pi una ticheurte. Et pi aussi au ZARA, dos ticheurtes. Et pi au mercado, una bolsa con la photo de Frida dessus. Vous voyez que la grosse poche, si je continue, elle ne zippera plus?

Cela étant dit, il est midi, y tenomos hambre! Entonces, nous nous attablons au Grand Cafe. Mais ici hay problema. Comme c’est ma fête, je ne vais tout de même pas boire une vulgaire cerveza avec des lunettes Versace sur le nez. No way! Donc, je regarde la liste de « bebidas » (breuvage) et elle est tellement longue (je pense qu’il y en a une 60taine, voire plus) je n’arrive pas à faire un choix. « Quand j’étais jeune », j’ai eu des périodes « drink » de tout genre. Pour en citer quelques-unes, il y a eu celle du Téquila, du scotch sur glace, du campari-soda et j’ai eu aussi une longue période « Pina colada », tiens, c’est ce que je prends. Ohhh agradable sorpresa! una Pina colaaaaaada à Sherbrooke et una à Mehhhhhhico no es igual. À Mehhhhhhico, c’est du vrai pina, pas du jus delmonte à l’ananassssss. C’est tellement délicieux, que le soir venu, El Maestro Laflamme et la Senora LeMejor étaient au Manager’s reception, pour la première fois du séjour et buvait du Pina colaaaaada avec un morceau de pina sur le borde de la copa por favor. 

Revenons au Zocalo : rassasié de fajita con pollo, nous reprenons le Turibus et le « vent en poupe » direccion el quartier POLANCO. Ici on dit « Polanski » parce qu’il y a beaucoup de juifs qui y habitent. À l’arrêt de bus, au diable les boutiques Chanel et autres, nous restons bien assis, il est 16 heures, « on né fatiqué » et pi anyway je ne vais pas m’acheter une paire de sandales PRADA, (j’ai pas les moyens de Céline) entonces nous continuons le tour et rentrons a la casa.

  Nous sommes la noche del sabado et mon jour de fête continu. El Maestro me dit que nous allons souper au Evita, le très zen resto Argentin du Embassy. Le jour de ma fête, me desculpe, je ne regarde jamais la colonne de droite du menu. Queeeeee la colonne gauche. Que tomar? La carta de vino por favor. Miss Versace, de son air « très classe » pregunta au somelier – Que tu me aconsejar? Il dirige son doigt vers la ligne du SERAFIEL Adobe de Guadalupe. J’ai triché. Muy discrètement, j’ai regardé la colonne de droite. Bof! Cé pas graaaaave, cé ma fête tchiquetchique VISA : buvez maintenant y payez mas tarde…No Problema! Je ne vous film pas ce que nous avons mangé, ni la cuenta (facture), mais l’Evita, cé caro, pero la cocina Argentina, sobre todo la carne, es mas de muy bueno. Feliz cumpleanos Sssssusssssana!


Je fais une pause : Observation restaurant/Classement fourchettes :

Depuis que nous sommes ici, au fil des sorties restaurants, nous sommes en mesure de faire le classement d’après les « napkins », les napperons desdits restos : 4 fourchettes : Le serveur en prenant le coin, déplie le napperon en tissus et, d’une volée, le dépose sur nos genoux. 3 fourchettes : Il y a des napperons en tissus, mais tu fais la djob toi-même. 2 fourchettes : Il y a des grands napperons en papier. 1 fourchette : Il y a un paquet de napperon sur la table, tu fais ce que tu veux avec. (Il m’est arrivé de me moucher ha ha). 0 fourchette : Tu demandes « napkins por favor? »


Domingo, Hhhhhérarrrrdo et Claudia sont venu nous chercher à 8 heures 30. Au Mexique, l’heure change comme avant chez-nous, el primero domingo de abril. Nous avons donc perdu une heure. Pour la première fois, nous sortons de la ciudiad pour une « bouffée d’oxygène ». C’est à 140km d’ici donc à + ou - 45 minutes . Ça c’est « à la Mexicaine ». À la Canadienne, c’est à 280 km d’ici et à + de 2 heures d’autoroute. Destination du jour : QUERETARO (Santiago de Queretaro) et SAN MIGUEL DE ALLENDE.

Un p’tit cours d’histoire? Queretaro inscrite en 1996 au Patrimoine Mondial de L’Unesco (cé pas petit’affaire) est reconnu pour être le cœur d’un complot connu (non pas de moi mais des Mexicains) sous le nom de « conspiracion de queretaro » qui aboutira à l’indépendance du pays au 19ieme siècle. Date où l’épisode Impérial y a pris fin. L’Empereur Maximilien y a été exécuté le 15 mai 1867. Queretaro était la capitale provisoire du pays. La constitution y est signée en 1917. Interessante no? J’arrête ici, je n’en sais pas plus.

 Je sais par contre, que nous sommes à 1880 m d’altitude. Ici, comme à Mehhhico, on a le souffle court, mais l’air est bon. Ici aussi, comme partout, nous passons devant des Monasteres, Couventes, dont celui de Santa Cruz et otras Palacios, enfin encore et toujours de ses somptueux monuments historiques. Après deux semaines en notre compagnie, Gerardo a compris que, comme dit Virginie à Marilou qui a 3 ans, devant mes bibelots: « on regaaaarde, on touche pas » Ha ha. C'est ce qu'on fait, On « touchera » lors d’un autre séjour. À l’entrée de la ville, nous passons sous une imposante structure, une immense arcade de pierre qui me paraît bien haute et bien longue. Hhhhérrrraardo que es? Es un Aqueduc, construit en 1735, il y a 74 arcades de 23 mètres de hauteur, et qui s’allonge sur plus de 1280 m. Voilà pour Queretaro la coloniale.

Maintenant, allons à l’otra Queretaro, la moderna, ou depuis quatro anos l’expansionnnnnnn se fait à haute vitesse. G. dit que nous sommes au quartier JURIQUILLA. Les « chilangos » (les habitants de Mexico) tannés de la pollution et du trafic bien emmerdant et bien sûr ceux qui en ont les moyens développent et construisent à gogo. De loin on ne voit que du blanc. Mais ce n’est pas de la neige, c’est une agglomération de belles Villas blanches, lofts et condos. Tout est nouveau et bien architecturé : des parques, un Golf, avec juste en bas un lac et des écoles et des Universités et des restaurants, enfin bref, pour les deux « chilangos de Canada » c’est LA SEDUCCION TOTALE! El flechazo! Le coup de foudre! Rien de moins.

 Je dois vous dire qu’André et moi avons devant nos yeux, des images bien familières qui nous ont fait rêver à Mohamedia (Maroc) ou à Gamarth et Hammamet (Tunisie) par exemple, et où nous nous étions exclamés : Cééééé t’ici que je prendrais bien ma retraite! Hé bien à Queretaro? Même exclamation. Je précise : s’il y a retraite bien sûr! Les goûts ne sont pas à discuter. G. dit que c’est trop « plastic » et que c’est mieux à quelques kilomètres plus loin, au village natal de sa mère, où c’est plus rustique et moins cher et… où il a un terrain! On verra le temps venu mon cher Hhhhhérrrrrardo. Pour este momento, c’est drette là que nous installons nos pénates! Tu vois cette très jolie Villa juste en face de nous? C'est celle-là!  Pas ailleurs!

 Je fais une petite parenthèse. Quand nous « planifions notre retraite » (si retraite il y a) je devrais dire quand nous "parlons" de retraite, des points bien importants sont à considérer pour l’escale entre la résidence et le « foyer pour tivieux » : outre le confort, le décor, la facilité de vivre, il y a aussi « boire du vino tinto ». Qu’esssssse-vous voulez, on aime ça! Contrariamente à nos contrées maghrébines où boire de l’alcool cé péché, surtout pour une dame; au Mexique ça l’est pas. On est catho ici. Et Jésus n’a-t-il pas transformer l’eau en vin? Bin voilà! Quoique les Mexicains sont plutôt cerveza ou tequila, du VINO on en fabrique, importe-exporte, vends et boit! D’ailleurs, chez-nous nous achetons souvent le délicieux L.A. CETTO / Petite Syrah. Or devant ce fabuleux décor, nos contrées maghrébines s’effacent : à Juriquilla nous serions muy feliz! un verre de vino rosso en main!  Y’a TOUT : centro commercial, supermercado, bistros, cafés, restos, boutiques de tout genre, bref cé la place. Comme dit mon amiga Paulina : Que demande le peuple? …..« Allez viens prendre un p’tit couououououp à la maison! »

Marco, el amigo de G. qui y habite, et chez qui nous sommes présentement, nous dit qu’en plus c’est très sécuritaire : no violencia, no secuestro, nada! Muy interessante! Pero, quand A. a demandé à Marco combien coûte sa superbe Villa et que la réponse fut 400,000$ US on a un peu désenchanté. Mais Marco nous rassure. Pour 150,000$ il y a de très jolies petites Villas. Fiou!!!!! Et il  nous a fait faire le tour. Ahhhh yaille yaille! Qu’on me prenne en otage…et por favor ne demandez pas de rançon!!!!

  Après les exclamations d’usage : Ahhhhhh que céééééé beau! Je déménaaaaaage la semaine prochaine! Après un fastueux brunch au « Mision Juriquilla », une imposante Hacienda du 18e siècle transformée en un luxueux 5 étoiles; nous reprenons la route 57 direccion SAN MIGUEL DE ALLENDE. (En passant, les autoroutes sont comme chez-nous. Des bouts sont « bringuebalants », d’autres ça roule très bien.) Déclaré « Monumento Nacional » en 1926, ce « coin de pays » fut occupé en 1542 par les Conquistadors Espagnols et c’est un Franciscain, Juan de San Miguel qui y a établi la première ville « San Miguel ». En 1826, on ajoute « Allende » en l’honneur de Don Ignacio de Allende, la « tête » de l’armée du Père Hidalgo, et c’est ce Allende qui a libéré cette ville du joug espagnol. Voilà pour le curso numero dos del Historia de esta ciudad! Vous voyez qu’après dos semanas, mon ignorance s’amoindrit.

Vendredi, G. dit à A., « domingo je te montre un endroit où beaucoup de retraités canadiens viennent passer l’hiver ». Ma première pensée? « Ahhh non on va voir des Ticounois zzzzé des Ticounoises? ». Cette ville est construite à flanc de colline et elle bénéficie toute l’année d’un climat doux, et sin pollution oblige, le ciel est clair et pur! En y entrant, j’ai compris pourquoi les retraités choisissent ce coin. Comment dire, c’est SUPER-BEAU! tout simplement.  Nous sommes vraiment au Mexique à San Miguel, le charme colonial y est très bien conservé : murs roses, jaunes, ocres. TOUTE la ville, (150,000 habitants), est d’un charme fou. Églises baroques, fontaines, calles en pierre et trottoirs en dalles avec des petites places ombragées sous les jacarandas où on peut s’asseoir sur des bancs. Je rêêêêêêve! C’est comme on voit dans les films. En marchant dans les petites calles, je remarque que toutes les portes sont en bois sculptés. À les voir j’imagine que certaines date du siècle dernier, tellement elles sont usées mais au combien fascinantes. J’ai envie de les ouvrir, pour découvrir les jardins secrets de ces belles demeures. Dans ma Villa de Juriquilla, j’en aurai une, cé sûr, pour cacher mon jardin intérieur dans lequel vous ne verrez queeeee des cactus! 

Nous sommes tout de même chanceux, certaines de ces belles portes nous sont permis, nous entrons dans de belles boutiques, des galeries d’art. Ahhh vraiment je comprends pourquoi c’est si populaire San Miguel. C’est animé, agréable, charmant, rien n’y manque. Ici foisonne des boutiques d’artisanat, d’antiquaires, d’écoles d’art, des bistros, des restaurants « haut dé gamme » comme dit mon amigo… et j’en passe. À chaque pas, il y a de quoi s’extasier. On ne voit pas que des turistas mais aussi beaucoup de résidents de la place. De simples Mexicains chanceux d’y avoir une maison. Il fait 35 degrés, y fâ chô, nous montons où domine la Parroquia de San Miguel Arcangel, une immense Catedral avec sa façade néogothique et le plus intéressant pour ceux qui ont chaud; il y a un charmant parc où, sous les nombreux figuiers taillés comme des parasols, (l’arbre à palabre comme disent mes Africains) sur des bancs en fonte, paressent ou jacassent des Mexicains et turistas et enfin, nosotros.


 Comme ma culture s’épanouit de ville en ville, je vous glisse un mot sur cette majestueuse Cathedrale? On dit que l’architecte s’est inspiré d’une carte postale d’églises Européennes, celle de Barcelone et de Cologne pour la construire. Ici, comme devant toutes les « vieilleries » on « regaaaaarde on touche pas ». On s’asseoit sous un « parasol » et on mange un helado de fresa y limon. Et pi après on prend des photos, on va faire un p’tit tour dans les boutiques d’artisanats, on va au Starbucks Cafe, mais là, en y entrant, c’est la séduction. Ouf! il s’est surpassé le Starbucks. Il n’a pas du tout l’allure de tous les Starbucks de ce monde. Il s’est installé dans une vieille résidence du 19e, (il n’avait pas le choix il n’y a que ça ici) avec sa cour intérieure et des arcades. Dans la cour, autour de la fontaine, il y a une exposition de meubles de terrasse. J’ai choisi mon parasol pour mettre sur le patio de mon jardin intérieur, de ma petite Villa de couleur ocre de Queretaro. Ici « on touche et on regarde » mais on boit pas de café, ici on fait pipi, on se lave les mains et l’on retourne dans les boutiques.

 Il est 16 h 30, not'amigo depuis le début est toujours étendu sous le parasol sur un banc du jardin de la Catedral. El Maestro veut s’en aller et moi tambien. Nous remarquons, qu’en altitude, la fatigue nous rattrape plus facilement. C’est ainsi quand on marche à Mehhhhico, ainsi aussi à San Miguel. Nous avons tout le temps le souffle court, le nez sec et la gorge sèche. Tener sed? Siiiiii. Arrêt au garage Premex, il y a un « dépaneur ». Que preferir Sssssusssssana? Be Light sin calorias a sabor de limon! Y El Maestro? Ciel limon sin gas!

 Mais dis donc amigo, je n’ai pas vu de « Ticounois zzzzé de Ticounoises » à San Miguel. Ce sont surtout les Canadiens de l’Ontario qui viennent passer l’hiver à San Miguel de Allende. C'est bien!  Qui sait? Un jour peuplerons-nous de notre illustre présence cette toute charmante place? A continuara! Au retour à la ciudad, nous avons mangé dans un très joli restaurant d’URUGUAY dans le quartier CONDESSA. J’ai appris que jadis, le Condessa était l’hypodrome d’une Comtesse. C’est pourquoi on l’appelle « Condessa ». Et comme à chaque fois que nous sommes confronté à notre triste sort : « SALUD » nous avons trinqué à notre triste sort.

MERCREDI 9 AVRIL 2008 DÉJÀ!!!!

Il fait toujours très beau, très chaud. Les Mexicains disent que c’est anormal cette chaleur extrême, ces 35 degrés. Nous on ne s’en plaint pas mais pas du tout. C’est chaud et sec; très différent de Libreville, Casa, Tunis. Comme à chaque séjour, une petite déprime s’installe de jour en jour. Nous sommes bien, nous n’avons pas le goût de repartir. Repartir vers Juriquilla? Siiiiiii. Mais vers Sherbrooke? Bofffffff!. Hier, A. avait un souper très important avec des Directors très importants. Il fallait donc que je mange toute seule. J’ai donc mis mes sandalias et je suis allée au Reforma222. Il y a un p’tit restaurant Italien, le SPOLETO. Le menu se choisi en 3 étapes : Uno tu choisis les nouilles, dos tu choisis 8 ingredientes et tres la sauce. Mon choix fait, je passe à la caisse. Bordel de meeeeerde je n’avais que 40 pesos dans ma poche. Ooooopsssss! - Possible pagar con tarjeta credito? Si. FIOUUUUUUU! Le pire c’est qu’A. est parti ce matin, et j’ai toujours queeeeeee mes 40 pesos et pi ma Visa qui expire le 05/08. J’ai toujours peur qu’on me dise que ça ne passe pas. A. est obligé d’utiliser son American Express, porque la sienne verdad, elle ne passe pas. Yé temps qu’on parte! 

Comme il n’y a pas TV5 Monde à la télé, j’ai regardé Oprah et j’ai lu. Ça nous manque TV5. (J'ai suggéré à la Directrice du Embassy de s'y abonner.)  Beaucoup de postes espagnols et beaucoup de news américaines. Et les postes espagnols, j’vous dis pas, c’est d’un ennui! C’est la première fois que je n’ai pas le temps de lire un livre. Ce n’est que cette semaine que je l’ai commencé mon roman. Le matin, je vais au SPA et ensuite je me rafraîchis dans la piscine et despuès je m’étends sur la chaise longue et je lis. Et je recommence la ronde : SPA-Piscine-Chaise-Livre! J'y suis toute seule la plupart du temps. Hier matin, il y a vait une petite fille qui sautait sans arrêt.   Elle me dérangeait:  Je suis montée à la chambre, faire Le Budget. Tchiquetchique a beaucoup tchiquétchiqué! Viernes je n’aurai plus de connexion internet.  Voilà, vous m’avez encore une fois accompagné au Mexique. J’espère que le voyage vous a plu? Je vous joins quelques photos, mais elles ne rendront jamais ce que les yeux on vus GRANDEUR nature! Hasta Pronto! Ssssssussssssannnnna!