El Maestro y la
Senora Lamayor a Mehhhhhhhico! TOME II – Chapitre Uno
Hola! Nous revoici
à Mexico City. Je suis bien contente, quitter l'hiver ne fut pas
du tout mais vraiment pas difficile. Ici c'est le Printemps! Je partage donc
encore une fois avec vous mes Carnets, une ébauche de mon vécu mexicain. Pour
se rendre à Mexico, nous avons « 3 pas » à faire : Une nuit au Hilton-Dorval,
Trudeau et le Vol. Après le premier pas; fort agréable, le deuxième pas est
allé de surprise en surprise.
Mais d’abord
laissez-moi vous raconter une p’tite anecdote au Hilton.
Je me suis cru, pour un moment, au Maroc. Le Concierge, celui qui vient porter nos bagages à la chambre et surtout celui qui ouvre la porte du garage pour que A. puisse y laisser son bolide en toute sécurité, c’était un nnnnnnnnnArabe. Voici la scène : A. lui demande : - vous allez m’ouvrir la porte du garage? - Quelle sorte de voiture avez-vous? – Mercedes - Ahhh monsieur, il n’y a plus de place au garage, mais pour vous je pourrais faire un petit quelque chose... et il baragouine un scénario auquel nous sommes tellement habitué; celui qui nous mène à mettre la main dans la poche et à en sortir des dollars pour obtenir LA faveur que nous fait ce bon et généreux concierge. C’est en écoutant ce dialogue arabique que je me suis dit : Bordel de meeeerde me voilà à Casa? Mais, d’expérience en « entourloupette arabienne », el Maestro a plus d’un tour dans sa poche et pas de dollars dans ce cas-ci. Il dit au concierge – non non j’ai regardé par la porte et j’en ai vu des places! Maestro 1 / L’Arabe 0. Des places il y en avait « en pagaille » comme on le dit dans mon Afrique bien aimée pour dire « qu’il y a beaucoup de choses ». Et la Mercedes y est bien stationnée.
Je me suis cru, pour un moment, au Maroc. Le Concierge, celui qui vient porter nos bagages à la chambre et surtout celui qui ouvre la porte du garage pour que A. puisse y laisser son bolide en toute sécurité, c’était un nnnnnnnnnArabe. Voici la scène : A. lui demande : - vous allez m’ouvrir la porte du garage? - Quelle sorte de voiture avez-vous? – Mercedes - Ahhh monsieur, il n’y a plus de place au garage, mais pour vous je pourrais faire un petit quelque chose... et il baragouine un scénario auquel nous sommes tellement habitué; celui qui nous mène à mettre la main dans la poche et à en sortir des dollars pour obtenir LA faveur que nous fait ce bon et généreux concierge. C’est en écoutant ce dialogue arabique que je me suis dit : Bordel de meeeerde me voilà à Casa? Mais, d’expérience en « entourloupette arabienne », el Maestro a plus d’un tour dans sa poche et pas de dollars dans ce cas-ci. Il dit au concierge – non non j’ai regardé par la porte et j’en ai vu des places! Maestro 1 / L’Arabe 0. Des places il y en avait « en pagaille » comme on le dit dans mon Afrique bien aimée pour dire « qu’il y a beaucoup de choses ». Et la Mercedes y est bien stationnée.
À Trudeau, 5 h 25
du matin, surprise numéro 2 : L’enregistrement. On ne fait plus la queue au
guichet, on la fait aux machines électroniques. Nous obtenons la carte
d’embarquement et les tickets de valises en pitonnant sur un ordinateur. « Cé
pas évident » comme disent les ticounes. Heureusement une préposée nous y aide.
Nos cartes, nos valises bien « ticquetées » il faut aller les porter au guichet
AC et nous concernant, payer 75$ pour un surplus bagage. Non non!
détrompez-vous, ce n’est pas la mienne, c’est celle de C-Inter qui
est trop lourde. Le haut savoir de cette illustre entreprise a son « pesant
d’or ». Deux heures plus tard, nous sommes assis aux sièges 7 E et F sur le
vol AC 995. Mais pour y prendre place j’ai été obligé de « désièger » un
bonhomme. Dans monnnnnafrique, c’est familier désièger quelqu’un. Mais dans mon
Canada soi-disant civilisé, je pensais ne jamais le faire. Bin je l’ai fait! -
Sssssscusez-moi monsieur, vous avez quel siège? - 7D - Et bien c’est ici le D.
Connard!!! (pas dit…juste pensé). Le siège 7F-Hublot est très tentant parce
que très bien, il n’y a aucun banc devant : c’est la porte de secours. Alors de
la place pour s’allonger les jambes il y en a. Et l’espace entre les bancs de
cette rangée est plus large que les numéros suivants.
D’ailleurs,
surprise supplémentaire, j’ai remarqué sur le site AC, qui me montrait le plan
du A319, que plus tu recules moins il y a d’espace entre les rangées. En
arrière, 28e et 29e rangées, ils avaient tout simplement les genoux au front.
Nous n’avions pas le choix de voyager sur Air Canada. Le vol direct est à + ou
- 5 h 15 tandis que les autres compagnies qui font escale à Atlanta,
Philadelphie et autres, durent entre 12 et 13 longues heures. Méchante
différence. Donc, ce n’est pas la compagnie que nous choisissons c’est le vol
direct. La dernière fois c’était Mexicana qui y allait directement.
Surprise numéro 3?
Quelque temps après le décollage, une agente de bord nous passe un menu
cartonné, imprimé des deux côtés mais les ¾ sont biffés. OOOohhhhh surprise il
y a des prix à côté des plats. Et plats est un grand mot. Il ne reste de choix
que : quelques grignotines et sandwiche quiznos au poulet (ou bœuf) 6$; du vin
ou bière à 6$ et des chips à 2$ et, aubaine mirobolante : un trio à 12$ composé
du sandwich + chips + verre de piquette-rouge (ou bière) Nous avons choisi 2
trios poulet avec piquette-rouge. 24$ pour rien de moins que de la « chnoute »!
L’eau, le jus de pomme et le coca est gratuit. Tu payes ton lunch sur place, à
l’agent de bord. Ça alors! plus cheap que ça…Tu voyages sur Air Haïti?
5 h 15 plus tard,
nous voilà enfin devant le tapis roulant, les yeux rivés dessus avec une
certaine apréhension, mais ohhh bonheur , aucun inconvénient qui mène aux
larmes : ma grosse poche qui fêêêêê dûr trône bel et bien sur le tapis et les
deux du Maestro tambien. Soulagement; on ne sera pas tout’nu au Mexique! En
route vers le Embassy Suites, un cri del corazon (à la Verlaine) m’est venu en
tête : …..«voici des arbres, des feuilles et des fleurs!!!…et voici mon cœur
qui ne bat que pour Mehhhhhico!....» Verlaine ne disait pas comme ça, mais
j’imagine qu’il ne se trouvait pas à Mehhhhhico au mois de mars en composant
son poême.
Quand il y a à
peine une journée, tu étais sous la neige, le froid et la tempête; à la vue des
majestueux et magnifiques Jacarandas tout en fleurs bleues qui bornent (en
paigaille) les rues de Mehhhhhico; tu ne peux t’empêcher de crier de joie :
Queeeeee ça fait du bien, voir toute cette verdure. C’est le vrai printemps ici
et piiiii cééééééé beau!!!!! AAAahhhh Bordel que c’est agréable voir toutes ces
couleurs chatoyantes! Ça change du blanc!!! Et ça remonte un moral j’vous jure!
Nous sommes le
mercredi 26 mars,
Vous me voyez au
pupitre de notre chambre de la Suite 404 du Embassy Suites sur el Paseo de la
Reforma. Agustin Lara chante en sourdine. J’ai mis le CD dans mon ordi. Tout ce
que j’avais lu de critiques sur cet Embassy s’avère véridique. 5 sur 5 en tout
point. C’est chic, moderne, très design. Ce qui nous convient très bien el
Maestro et moi. Notre Suite est grande, très « classe » pour m’esssssprimer
dans mon jargon africain et bien sûr, très confortable. Que demande le peuple?
Comme dit mon amie Pauline. En plein ce que nous avions escompté. Nous ne
serons pas à l’étroit. Si je me tourne la tête à gauche, de ma grande vitrine
qui donne une vue « imprenable » sur la statue de Cristobal Columbus je vois
aussi le trafic incessant de Paseo de la Reforma, une artère
principale de Mehhhhico. L’image de ma vitrine bouge en tout temps. Des taxis
volkswagon vert et blanc, il en passe 30 à la seconde.
Nous n’avons pas encore
fait acte de présence au Manager’s reception. Nous sommes trop occupés à
prendre nos marches dans not’quartier en vue de dénicher un resto. À date, nous
avons bien déniché, bien mangé et bien bu. Un Argentin le premier soir (c’est
le resto de l’Embassy); un Italien le 2e, retour à l’Argentin le 3e, un
Mexicain le 4e, un « Oaxacain » le 5e. En résumé : bonne bouffe, bon séjour!
Bon prix? Autour de 50$ vin compris. Parfois plus, ça dépends si les convives
boivent una copa de vino ou una botella.
Dans le Herald
Tribune de ce matin, j’ai lu : « without the bad, no one would appreciate what
is good ». Traduction : sans le mauvais, personne ne pourrait apprécier le bon.
Pour certains voyageurs, the bad c’est le trafic, le bruit, le ciment, les gros
buildings, la foule, enfin vous savez… la pollution urbaine d’une ville de
21,000,000 d’habitants? Pour nous, (pour le moment) c’est « what is good ».
Mexique oblige, je ne vous dirai pas chacun sa tasse de thé, mais : Chacun son
verre de tequila! Je pense que c’est tellement « arrêté » sur C. Bau., tellement calme à Sherbrooke, et tellement plate et laid par cette
putain d’hiver qui n’en finissait plus, que ce « bain urbain » nous enchante.
Viva la differencia! Viva Mehhhhhhhhhicooooooo!
Jeudi le 27 marzo
2008 :
Déjà 5 jours de
rayés sur le calendrier. Je dirais que l'agenda du jour est du « copier-coller ». Où que l’on voyage, c’est toujours un peu le même vécu : A. quitte vers 8 heures et moi vers les 10 heures. Je pars à l’aventura, après
avoir mis « mon rimmel », lu mon Herald Tribune et surtout avant que la bonne
de jour arrive. Je précise de jour, juste pour faire « ma fraîche » : nous
avons aussi une bonne de nuit, qui nous prépare le lit, nos robes de chambres
et nous met une petite bouteille d’eau sur la table de chevet et un petit
chocolat. Elle ferme les rideaux, tamise les lumières : buenas noches! Il y a
aussi le barman qui vient remplir le frigo de cerveza, tous les après-midi,
avant l’arrivée du Maestro. Muchas Gracias!
Ok, maintenant que
j’ai fait ma fraîche, retournons à mes expéditions? J’ai arpenté une grande
partie de mon quartier. Je constate qu’outre les grands hôtels, les Palacios,
les Plazas et les Museos de mon quartier, il y a, à toutes les 3 « blocs », un
Sanborns. Qu’est-ce que Sanborns? Ce sont les grands magasins de l’homme LE
plus riche au monde, qui est un Mexicain (Libanais d’origine) : Senor SLIM. Et
chez Slim, comme chez Jean Coutu; on y trouve de tout, même un ami? Hé bien
oui. J’ai trouvé deux amies, mais pas ce que je cherchais. Je vous raconte :
Hier matin, A. me demande de lui acheter des lacets, porque un est cassé.
J’ai tout de suite pensé au Sanborn de la calle Insurgentes. C’est le plus
grand, le tout nouveau et il est tout près d’ici. Avant de partir, je vérifie
dans mon Larousse comment on dit lacet. À un vendeur, je demande : « tener
cordon por zapato? » - no senora.
Hé bien je «
fouine » donc dans ce très chic magasin : rayons livres, magazines, CD,
montres, bijoux et soudainement, voici que le département de cosmétiques
(Italien) PUPA me « saute en pleine face ». Vous connaissez? Moi si. Lors d’un
voyage en Italie, à Milano plus précisément, (on fait la fraîchepette ou on la
fait pas) j’ai « fait connaissance » avec ces très beaux et bons produits tout
de rouge empaqueté. Je me dirige donc vers ce kiosque, et deux mexicaines
belles et bien maquillées me conseillent sur un rouge à lèvres, un mascara et
un blush. J’achète. Elle me donne un vernis « regalo para ti » Muchas Gracias!
Hasta Luego! Hé bien non, pas hasta luego.
Une me demande : - Hay tiempo por maquillaje?
- Si, todo la dia. Soy sola mi marido trabajo! Elle me fait donc signe de
m’asseoir sur la « chaise-haute » de maquilleuse. Et là, pendant plus d’une
heure de pur bonheur, au son d’une belle musique du département des CD, elle me
« tripote » la face : démaquille, remaquille et voir même me coiffe. Une prends
une photo « antes » et aussi « despues ». Mais despues, vraiment, je ne me
reconnais pas! J’vous dis, une autre Suzanne. Les yeux surtout.
Malheureusement, mon amitié avec ma maquilleuse est bien éphémère, elle n’a
duré qu’une journée. Snif! Snif! Ou en espanol : Snifo! Snifo!
On dit que dès que
tu mets les pieds au Mexique, les mexicains te prennent en charge. C’est le cas
pour nous. Notre mexicain favori, not querrido amigo G. a tenté, dès que nous
avons quitté l’aeropuerto de le faire. On va visiter ci? on va aller prendre un
petit café là? On va voir le ballet? À chaque suggestion, A. décline : Por
favor! On veut s’en aller à l’hôtel. Ne dit-on pas que tout vient à qui sait
attendre? c’est bien le cas de G. Le lendemain, dimanche de Pâques,
après la réunion au sommet du C.InterM. qui s’est tenu à la 404, (de 9 h à 15 h
15) il nous dit – allons manger en dehors de la ville, je connais une belle
place et ce n’est pas loin, qu’à 10 minutes d’ici. Il est 15 h 30. Nous avons
pris le petit-déjeuner à 7 heures. J’ai faim! El Maestro tambien! Ok, 10
minutes, ce n’est pas trop long. Hhhhérrrrardo? On y va! Les minutes mexicaines
ne sont pas les mêmes que les canadiennes; les distances non plus.
Ainsi, 40 minutes
plus tard, 75 km plus loin, nous arrivons à TOLUCA, la capitale la plus élevée
du Mexique : 2,600 mètres. Je l’ai d’ailleurs remarqué. Plus ça allait, plus
les oreilles me bouchaient. Et c’est aussi plus frais qu’à Mehhhico. Mais ça
valait les 35 minutes et le bourdonnement d’oreilles. Ahhh mais quelle jolie
place pour y dîner. Nous sommes au restaurant l’Escondida qui veut dire la
cachette. C’est caricatural : ladite cachette ressemble au pays des merveilles
d’Alice. Un décor de bande dessinée. A. me dit que ça ressemble au «
village du père noël ». Vous avez compris que lui et moi n’avons pas lu les
mêmes histoires, mais voyons le décor du même œil : naïf : petits ponts par-ci,
sculptures de scène mexicaine par-là. Petits sentiers pavés de petites roches
avec rangées de petites fleurs bordant de petits bassins où comme partout on y
a jeté de la monnaie (remarquez que je ne dit pas petite LOL) dedans. Enfin bref, plein de « petites
zzzzaffaires » qui décorent cet endroit tout de même magnifique, et grandiose.
La terrasse du
restaurant (qui n’est pas petite) se trouve comme sur un plateau. Au milieu «
du ravin ». Oui, nous sommes dans un trou. Dans un « canyon ». Autour il y a des
rochers et en haut des arbres, de gigantesques épinettes, des palmiers et pi
nous dans le fonds du ravin, qui buvons un très bon vino tinto mexicain et
mangeons el pescado du jour. C’est incontournable, comme dans chacun de nos
séjours, nous trinquons à notre minable existence et à notre courage de
souffrir de tels moments! Non mais, attendez! Ce n’est pas facile déguster
toute cette bonne bouffe et boire du bon vin tout en pensant qu’à tout moment
un tremblement de terre peut t’engloutir dans ton escondida!
Après notre
délicieux repas à la cachette d’Alice et du père noël, le tremblement de terre
n’ayant pas fait ses ravages, il est 18 heures 30, nous sommes toujours vivants.
G. veut nous amener au Museo de Bellas Artes qui occupe un ancien couvent
des carmélites du 17e. Il y a une exposition d’art espagnole de ce siècle. Ici
je fais un commentaire Museo. Je n’ai jamais vu de ma vie autant de musée. Il y
en a de toutes les sortes, partout mais vraiment partout. J’ai quasiment envie
de vous dire, à tous les coins de rue et ce dans toutes les villes mexicaines.
A. et moi ne sommes pas trop trop musée. Pardon, mais ce non-goût ne nous
fait pas inculte. Nous en avons visité plusieurs en France, Italie, Espagne, Hollande, Afrique.
Je dirais même plus : j’ai déjà visité le Musée de Bulwer. Ce qui n'est pas peu
dire. Mais les milliers de musées d’ici? Pas pour le moment. Nous n’avons
vraiment pas le goût de nous enfermer dans les « vieilleries anthropologiques »
et les vieux pots cassés pas les Incas, les Aztèques et les Mayas. Ce que nous
voulons c’est profiter du BEAU temps chaud et humer les émanations de gaz à
plein poumon! ha ha! La cultura? Manana!!
Ok…mon commentaire
fait; Revenons à Toluca, dimanche de Pâques? El Maestro décline l’invitation de
visiter el Museo. J’irai le voir sur internet! Dix minutes mexicaines plus
tard, nous rentrons chez-nous! Ce soir, pas de sortie restaurant, pas rien, la
sainte paix à la 404. Oh la la….Je vois le chiffre 6 en bas…j’ai beaucoup parlé
non? Je crois que je vais vous quitter ici. Claudia vient me rejoindre, nous
allons magasiner au Suburbia. Elle est la « quepine » de
G? Elle connaît bien Mexico, elle y est née. Alors elle sait où elle va,
contrairement à moi quand je suis seule. Et pi avec elle je n'ai pas peur, elle
était professeureeeeeee de Karaté. Avis aux brigands qui penseraient me prendre
en otage. C’est fréquent ici, dit-on, les prises d’otages avec demande de
rançon. Surtout les « faux » chauffeurs de taxi « libre » qui font ça. J'ai reçu ordre de ne jamais prendre de taxi. "Tu m'appelles" que me dit mon querrido amigo!
Elle parle un peu
français, moi un peu espanol. On parvient à se comprendre. Mais inutile de vous
dire que je rentre a la casa : FATIQUÉÉÉÉEEEEE de parler! Ce qui n’est pas le
cas quand j’écris à voir le nombre de page! Avec elle, aussi, j’aime bien ça
parce qu’on se déplace en Metrobus ou Microbus ou voir même en Combi. Il ne
manque que le bicitaxi. Il y a aussi le Touribus. Lui, c’est un beau bus rouge
« convertible ». Il fait le tour de la ville. Pour 10$ tu t’y balade todo la
dia. On veut en profiter, samedi, el Maestro et moi. Je vous raconte dans mon
chapître deux. Voilà c’est sur ce que je prends congé de vous! HASTA LUEGO!