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31 déc. 2017

Rebelote monsieur le Directeur!

J'ai mon billet AF en poche.  J'ai réservé la chambre d'hôtel.  J'ai commencé à remplir les valises.  Ma tête commence petit à petit à quitter le froid.  Le 10 janvier nous nous envolons vers DAKAR pour la je ne sais la combientième fois.  Je ne compte plus.  Cette destination est devenu notre "ville secondaire" et le Novotel notre "résidence secondaire".

Mais ça c'était ce que je croyais avant le mail d'hier.  A. a reçu d'un des Directeurs un mail disant qu'il lui faudrait remettre sa mission une semaine plus tard.  

Aucune surprise c'est tout le temps pareil.  Même quand tu as tout préparé, tout en poche, voire même que tu es rendu l'aéroport, tout peut encore changer.  Ce n'est qu'une fois bien assis dans l'avion que tu te dis "Ça y'est on est parti!"  

Ce même Directeur a fait "le même coup" le dernier séjour.  Rebelote.  Sauf que, comme la dernière fois, il va recevoir comme réponse à son mail:  c'est IMPOSSIBLE de tout annuler.  Un:  les billets d'avion vont nous coûter beaucoup plus cher + la pénalité, puisque les billets achetés un mois d'avance et une semaine d'avance ne sont pas du même montant.  Deux:  La chambre d'hôtel, (+ de 5000$) n' est ni modifiable ni remboursable.  

Alors on fait quoi?  

Hé bien on attend la suite.  


9 oct. 2017

Tout dit......

J'ai tout dit sur Dakar!  Je raconte mes élucubrations sénégalaises depuis plus de 10 ans.   J'ai raconté mes longs séjours de 2 à 3 mois ...et parfois des courts comme celui-ci qui ne dure que deux semaines. 

 Que dirais-je encore?  

Je ne trouve pas.  C'est du "copier coller".    Si je disais encore ça serait du radotage.  Mes sorties, mes rencontres, mes petits riens, mes aventures, mes achats, mes petits et grands bonheurs, les délices que je mange, la vie de Princesse des grands chemins, bref, j'ai tout raconté.  

Si vous me lisez que depuis peu, aller dans la colonne "Archives du blog" et aux "romans" Dakar, vous lirez exactement ce que je fais en ce moment.  C'est à dire profiter de tout ce que peux offrir une ville si accueillante, si facile à vivre, et plein d'étonnement et d'émerveillement.  Je raconterais aussi le bonheur que nous donne plein de gens que nous aimons...depuis le premier séjour...et qui nous rendent encore heureux à leur contact.  Surtout à "notre résidence secondaire" qu'est le Novotel.  Tout le personnel nous traite comme si nous étions de "la famille".  D'ailleurs c'est ainsi que Kasimir nous a présenté au nouveau DG:  ils font parti de la famille!  

Et c'est pour tout ça, que le décompte qui commence en ce lundi matin 9 octobre 2017, il se fait le coeur un peu à l'envers.  J'ai pas tellement le goût de partir.  Je suis trop bien!  

2 oct. 2017

SUITE ET FIN

Il est 16 heures au Novotel Dakar…

Je disais ce matin que la très gentille réceptionniste qui m’a donné les deux très jolis cadres m’avait répondu :   « Ils arrivent dans une heure madame ». 

Je n’ai pas fait le pion en bas.  Je savais d’expérience que une heure sénégalaise ça peut tourner en une journée.  Alors j’ai dit à la très gentille que je repasserais.  J’ai donc vaqué à mes affaires jusqu’après mon activité piscine.   Premier jour oblige, je ne veux pas brûler dès les premiers jours alors je me présente qu'à 13 h 30.  Kadim a tout préparé.  Il a installé ma chaise sous mon "cocotier privé" il met la serviette et un livre sur la chaise.  Ainsi personne n'ose s'y allonger.  Elle m'attend!  

Je nage, je lis, je fait la farniente sous mon cocotier, je rêve, et j'ai chaud.  Il est 15 h 30.  Je quitte mon grabat,  direction La Réception.  Je suis bien décidée à régler le problème une fois pour toutes.  On va me la donner la carte ou ça va chauffer.  Quitte à me rendre à la Banque moi-même.

Oups, c’est LE réceptionniste qui est là.  Et il n’est pas du tout au courant de l’histoire de la fameuse Carte.  Bon, on recommence.  Je lui raconte mes déboires.  Il s’informe à je ne sais qui, dans le local juste derrière lui.  Il revient, il prend le combiné du téléphone et je ne comprends rien de ce qu’il raconte puisqu’il parle leur dialecte c'est-à-dire le Wolof.  Il repose le combiné et me dit :  On sera ici d’une minute à l’autre.

J’attends !  J’ai juste dit ça.  Et je me suis assise pas loin, au Lobby, pris mon roman, et j’ai attendu.  Quinze minutes.  Ça alors !  J’entends un « bing bang bang » à la réception, c’est une Dame qui brasse le Guichet où « repose » la CARTE VISA. 

Je me lève, et c’est juste si je ne lui ai pas sauté au cou.  Elle a la carte à la main mais ne peut me la remettre, ça prend une pièce d’identification.  Passeport me dit-elle.  OUI  une minute je reviens.  ET je suis revenu avec les DEUX Passeports.

ET ELLE M’A REMIS LA CARTE ! 

Je n’ai pas souvenir d’avoir été autant joyeuse.  On ne peut s'imaginer le soulagement que me procure cette Visa dans ma main.  Et pour ne pas briser ma joie, mon excitation surtout, et pour être bien certaine de ne pas me faire subir le même sort encore une fois, je lui demande de rester à côté de moi alors que je retire les 200 000 francs. 

J’entre la carte dans la slot…clic clic…pitone code…(La dame me dit de ne pas aller trop vite J  )   AHHHHHHHHHH La carte ressort de la slot….et clac clac clac…  

ET SORT MES 200 000 FRANCS ! 

C’est elle qui m’a sauté au cou et m’a fait la bise. 
Elle est pas belle la Visa eeeee la Vie ?   J 




Pi? La Visa?


Lundi le 2 octobre 2017

J’arrive de la Réception.  La très gentille Réceptionniste  (je ne l’appelle plus la désolée vous verrez pourquoi au fil de mon récit)….elle a appelé à la Banque devant moi.  
– Ils arrivent dans une heure madame !

Pendant son appel, je suis rentrée dans le petit local spécial pour les clients Gold.  C’est là qu’on nous a reçu à notre arrivée.  On est tout de même pas pour se mettre en ligne avec tout le monde quand même !  Mais bon, revenons à ma furtive introduction dans le local.  J’y suis entrée parce que deux très jolis petits cadres ont attirés mon attention.  Je me faufile derrière le comptoir et en ai pris un dans ma main.  WOW !  Tellement joli.  Je les imagine sur un mur de ma maison.  
À ce moment, entre l’autre très gentille Réceptionniste

- Bonjour madame Suzanne, alors ça va ? 
- Je suis venue voir pour la carte
- Vous ne l’avez pas encore récupérée
- Non, votre copine appelle la Banque là

- Vous aimez le cadre ?
- Je le trouve très joli
- Vous préférez le rose ou le vert ?
Je me concentre pour en choisir un….

quand l’autre est entrée et elle lui dit
- Les 2   donne-lui les 2 
-Vous me les donnez ?
- Mais bien sûr
Et elle me fait la bise…et l’autre avec ! 



Ça alors.  J’ai les deux jolis cadres !  
Ça valait bien ça le coup de la carte non?
  
Ce sont les femmes Peuls qui les fabriquent.  Ils sont en verres les dessins à l'encre.

Hé bien, C’est de bon augure !
La journée risque c'être plus "rose" que les trois derniers!  

Aurons-nous la carte aujourd’hui ?

À suivre…..

1 oct. 2017

La Lettre du Continent


 En Côte d’ivoire, un journal s’appelle ainsi :   La Lettre du Continent.  Je me suis dit que ça faisait un très beau titre de blogue, puisque c’est du même continent que j’écris mes « lettres ».  Et je le fais depuis que Apple m’a permis de le faire, grâce à mon MacBook.   Comme le temps file !   Nous ratissons ce continent, du nord au sud de l’est à l’ouest depuis 1981.  C’est 36 années de bourlingue.  Et 36  années de bonheur.  J’ai des images plein la tête, bien gravée dans mon disque dur cérébrale.  Des gens, des endroits, des Palaces, le Désert, les Plages, et d’autres et encore et aussi des tonnes d’expériences toutes plus enrichissantes les unes des autres.  Parlant « enrichissement »  la Lettre d’aujourd’hui n’est pas la plus riche ni intéressante écrite.  Nous sommes dans une situation que nous n’avons jamais vécue.  

On a pas « une crisse » de cenne !

On ne voyage pas avec « du cash ».   C’est trop risqué voyager avec des milliers de dollars dans nos poche.  On l’a fait qu’une fois parce que nous n’avions pas le choix.  Partout, chez-nous comme ailleurs, on se sert de la carte Visa Or Odyssée.  Préalablement je transfert plein de pognon dans le compte et nous nous approvisionnons à un Guichet automatique installé aux hôtels par une Banque.  Tsé ?  Tu glisses ta carte dans la slot et tu pitonnes le montant escompté…Abracadabra… la magie se fait !   Les Francs, les Dinars, les Dirhams, les Pesos, enfin bref la monnaie locale sort par l’autre slot.  C’est ce que A. a fait hier.  Il a pitonné 200 000 francs CFA.  Mais ça n’a pas marché.  Mais pas pantoute. 

Pour je ne sais quel raison, sa carte a été bouffé par la machine.  Pire encore « on a pas une crisse de cenne » la distributrice ne nous a rien donné.  Bienvenue le TROUBLE !  Il nous faut maintenant récupérer la Visa si on veut aller manger de la Pizza à La Pampa, mon resto préféré de Dakar.  La plupart des restaurants ici ne prennent pas la carte de crédit, on doit payer comptant.  Alors...récupérer la carte et ÇA PRESSE!

Comme pour Air France, nous sommes aussi clients « Accor Gold ».  Mais la priorité du flamboyant titre ne nous donne pas grand-chose du côté Accor.  Nous venons de le tester.  Du moins quand tu as un problème avec le gourmand Guichet automatique.  Le problème s’est produit hier matin à 9 heures ?  Nous sommes samedi après-midi 16 h 30  et nous sommes toujours sans un rond.

D’abord on a rapporté notre triste sort à la Réceptionniste.  Je devrais dires aux réceptionnistes, ils étaient 3 à écouter la plainte et à nous montrer qu’ils s’occupaient bien des « pauvres de nous ».  On en voit une au téléphone, l’autre aller au bureau en arrière, enfin ça grouille à la réception.  Nous, on est là et on attend.  Au bout d’une heure environ, y’en a une qui nous dit que « ça ne répond pas à la Banque.  Mais on s’en occupe.  Dès que c’est réglé on va vous l’envoyer à votre chambre ».

De retour du déjeuner (qui ici est le dîner) on fait un tour à la réception pour voir où on en est avec « Je suis Désolée ça ne répond toujours pas à la Banque…bla bla bla…bla bla bla… ».  Vous ne pouvez imaginer comment je DÉTESTE me faire dire ça  « je suis désolée ».  C’est tellement futile et insignifiant.  La désolée n’est-ce pas celle qui a le problème ?  Mais bon, on ne fera pas de scène, ça va plutôt aggraver la désolation de la désolante désolée. L  Et à la voir aller, la désolée, on a vite compris qu’elle n’a pas pris le temps de rappeler à ladite Banque, c’est le brouhaha à la réception.

Le Novotel affiche complet.  On a été chanceux d’obtenir une chambre semble-t-il.  Évidemment, avec tout ce brouhaha de clients, qui arrive ou qui part, on a vite compris qu’elle est non seulement désolée mais débordée.  Quand à la Banque, sachant que c’est vendredi p.m. et que le vendredi midi, islam oblige, on va prier à la mosquée pour une heure ou deux.  La Banque est fermée. 

Putain mais qu’est-ce qu’on fait.

Ce matin, mon tout charmant serveur favori Kazimir nous a présenté au nouveau DG.  Il est Africain.  Ah bien tiens ?  Le hasard fait bien les choses,  le voici juste à côté de nous au lobby.  On lui raconte notre triste aventure.  Bien calmement il nous rassure « ne soyez pas inquiet on va la récupérer la carte et au pire nous vous prêterons l’argent d’ici à ce qu’on vous la remette ».  Je lui dis, à la blague « sinon nous irons manger chez-vous ».  Il me répond « pas de problème j’habite à l’hôtel ».  Petit malin que le nouveau DG ?

Que faire d’autre que d’attendre ?  Attendre !  A-t-on le choix ?  NON  De retour à la chambre, je vais voir sur « mon compte Visa » ce qui se passe, ça m’inquiète cette histoire.  Hé bien voilà !  Le montant a été crédité.  Pire encore !  Non seulement un montant mais deux montants de  451,86$  (200 000 francs) sont crédités.  Bien sûr ils sont au « montant autorisé mais non facturé » mais il reste que je suis surprise de voir que DEUX montants ont été autorisés.  Je vois en haut à droite « Nous joindre ».  Certainement que je vais vous joindre.  J’ai écrit notre histoire à « nous joindre » et j’attends la réponse. 

Samedi le 30 octobre

Forcément, ce matin, après le petit déjeuner, retour à la réception. Et on nous dit quoi ?   « Désolée, la Banque n’est pas venu.  Le samedi et le dimanche c’est fermé ! Ça va aller à lundi. »  PUTAIN DE BORDEL DE MERDE !  La Princesse des grands chemins n’est pas tellement contente.
Sans tambour ni trompette, elle va se calmer sous son Palmier préféré…sous son Parasol Privé…sur sa chaise Longue pour méditer bien calmement :   AHHHH  HUMMMMM !



30 sept. 2017

J'écris de......

Jeudi 29 septembre 2017
J’écris du très familier pupitre d’une chambre très familière du
NOVOTEL Dakar/Sénégal. 

Nous avons quitté not’maison  à 10 heures le mercredi 27 septembre et sommes rentrés à not’maison de Dakar,  le jeudi 28 septembre à 21 heures (heure dakaroise) donc à 17 heures (heure québécoise).  

Si on fait le total du voyage, ça nous donne   34 HEURES, d’embarquements, de débarquements et de longues attentes.  

Heureusement nous ne sommes pas rentrés au Novotel Dakar cassés puisque les vols se sont fait dans la chic « Cabine Business » et les attentes en tout confort dans les Salons Lounge – AF de Montréal et Paris.  Voyager Classe Premium Sky Priority « prout prout ma chère » et être « haut gradé » Flying Blue Gold a ses avantages.  Entre autres celui de se faire offrir le sur-classement à tout coup.  Soit on nous l’offre lors de l’enregistrement on line ou soit on nous l'offre à bord.  Et si on ne l’offre pas c’est nous qui le demandons.  On ne s’en prive jamais.  A. le dit tout le temps :   « cé pas pour quelques milliers de dollars … ».   

Je dis que nous avons quitté chez-nous à 10 heures le matin du mercredi 27.  Pourtant le vol n’était qu’à 16 h 50.  Pourquoi partir si tôt ?

Depuis quelques temps, de toute évidence, voyager sur Montréal (comme on dit ici) selon ce qu'on lit et entends, c'est un cauchemar.  L’échangeur Turcot en reconstruction et « la 20 » et les sorties fermées et les rues barrés causent des maux de têtes à bien des automobilistes.  Or se rendre à l’Aéroport serait devenu un casse tête.  Des voyageurs que nous connaissons, d’expérience,  ils nous ont conseillés de partir quelques heures plus tôt que d’habitude,  pour « affronter » le trafic et les nombreux détours à prendre pour nous rendre à l’Aéroport Trudeau à l'heure.  Selon eux ça nous prendrait minimum 3 heures pour nous y rendre.  Bonjour le stress !

R. le  Dir-Adjoint de A, et qui voyage avec nous, a servi de co-pilote. Muni de son iPhone, branché sur Google, il s’est occupé de diriger le Pilote.  Google lui indiquait de passer par « la 30 » ensuite le Pont Mercier et « Bonjour Trudeau ».  Bien devinez quoi ?  Ça nous a pris exactement 2 heures pile pour nous rendre à destination.  Comme normal quoi.  AUCUN problème, aucun bouchon, nous avons filé dans une circulation fluide du début à la fin.  Inutile de dire que les 3 passagers étaient soulagés.  Par contre, il est midi le vol est à 16 h 50. 

Les 3 passagers doivent maintenant « faire du temps » avant l’embarquement voire même avant l’ouverture du comptoir Sky Priority Air France qui n’ouvre qu’à 14 heures.    Allons dîner ?  Je n’aime pas tellement dîner du « côté arrivé ».  Ce n’est pas tellement agréable.  Le choix de resto est très restreint et pas tellement intéressant.  En plus c'est l'arnaque totale à chacun.  On mange hors prix.   Comme on ne veut pas trop se bourrer, sachant que dans une heure nous serons au Salon A.F et qu’il y a abondance de mignardises et collations;  A. a choisi un burger au St-Hubert.  Moi et R. au Burger King.  L'Arnaque prévu était au rendez-vous.  Un petit burger poulet m’a coûté 9$ sans frites ni boisson.  Même arnaque au St-Hubert, A. a payer avec frites et coca  19$.   Un conseil ?  Il faut surtout éviter le Burger King.  Il n’est pas ragoûtant ni invitant.  Il est plutôt écoeurant.  C’est sale, huileux et ça pu l’huile.  On dirait que rien n'a été nettoyé depuis la construction de l'Aéroport.  J’ai mangé mon burger du bout des lèvres rêvant de mon savoureux repas du Archibald de l’autre côté. 

Après notre festin burger dégueu, voici l’heure de nous rendre au comptoir Air France et vivement le passage des douanes.  Sky Priority aidant tout se fait à grande vitesse.  Aucune attente. 

Bon, ici je ne vais pas radoter encore une fois tout le trajet, le confort, etc.  Une histoire maintes fois racontée.   Je vais juste dire que je suis bien contente d’être encore une fois à Dakar.  J’aime bien vivre ici.  Depuis le nombre d'année que nous vivons à cet hôtel, soit + de 10 ans, on a comme l'impression de revenir chez-nous dès que nous franchissons la porte de la chambre.  Rien n'a bougé.  Même pas la poussière.  J'ai demandé à la ménagère de passer l'aspirateur partout, même sur les murs.  "Je fais de l'asthme" c'est mon "arme" pour obtenir un nettoyage complet dans mes palaces.  Moyennant quelques francs bien sûr.  C'est fait.  La chambre sent bon et elle est super propre.  

Surprise sur mon familier pupitre, étant clients "Accor Gold", un mot de bienvenue du nouveau DG + des "bons pour des makis"  au LOUNGE  et d'autres pour des boissons au Bar et des jus "du pays" dans le frigo.  Jus du pays?  On fait des boissons au Gingembre et au Bissap maintenant et c'est commercialisé et vendu dans les supermarchés de Dakar.  Mieux encore, une bouteille d'arachides aussi "du pays".  

Et la température?  Nous avons quitté la canicule québécoise pour retrouver la canicule dakaroise.  Ici aussi on est très surpris que cette canicule dure et dure encore.  Habituellement en septembre, ça commence à être confortable comme température.  Ça ne l’est pas tellement.  Dès 10 heures, il fait 31° et ça se change en 25° le soir.  Bof, je m'y ferai bien dedans la piscine.

Histoire de valises !


Depuis que je voyage, c’est-à-dire depuis plus de trois décennies, je fais les valises :   la mienne et celle de l'Expert.  Je me prépare au moins deux semaines avant le départ.  Petit à petit je remplis.  Conséquemment, je fais et défais et refais encore.  Conséquemment, à chaque fois il manque quelque chose.  Je persuadée l’avair mis mais je ne l’ai pas.  Comme mes nuisettes par exemple.  J’en avais mis TROIS.  Putain, j’en ai juste une.  Mais le pire, le plus drôle et en même temps pas drôle, ce sont les babouches « spéciales » de A.  Celles qu’il porte dans la chambre et qui ne lui font pas mal aux pieds.  Il y en avait deux paires dans son placard.  J’ai eu la bonne idée de lui choisir DEUX DU MÊME PIED !  Ça alors!  Je n’ai vraiment pas vérifié.  J’ai pris les sandales, les ai bien rangé dans sa valise.  Heureusement, il y a des pantoufles dans "le kit Gold" à l'hôtel.  

La morale de cette  histoire ?  « Super tchèquer » chaque morceau que je vais déposer dedans la valise et le laisser dedans.