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2 déc. 2014

Voyage Solo

Pour la première fois, depuis des années, mon A. il voyage solo.  Pourquoi?  Bof, pour bien des raisons.  La première étant qu'au début, le séjour devait être de 7 jours.  Un si court temps me revient à beaucoup de $$$$ pour si peu.   Et puis, au fil des semaines, il est devenu à 10 jours.  À cause de manque de place sur Air France à la date prévu pour le retour.  10 jours?  C'est plus intéressant.   J'aurais pu alors me rajouter au voyageur...mais....c'était impossible.  Obtenir un VISA pour le Niger n'est pas chose facile.  Il se demande de Washington USA, ça prends + d'une semaine l'obtenir, bref, il était trop tard.  Alors je serai du prochain "convoi".   C'est plate, parce que A. il a été surclassé Affaires.  LA Classe quoi!   À suivre......

5 juil. 2014

Le thème de ce séjour.....

Décidément, le thème de se séjour est manifestement « Putain que ça coûte cher ! »   



Aussitôt rentrés…aussitôt sortis!
Depuis lundi, nous sommes trois à sortir le soir.  Le Dir. Com., de l’illustre entreprise pour laquelle mon A. est le Dir. Adj., est lui aussi à Libreville, sur le même étage SPG que nous à deux portes de la nôtre.  Le matin, les deux vont au boulot ensemble, et le soir venu, nous allons manger au restaurant ensemble.  Mon travail à moi, étendu sur ma chaise longue, est de choisir dans lequel nous irons dîner le soir.  

Hier, c’était au  ROMA.  Un restaurant italien que les trois avaient aperçu en route pour l’ODIKA, le choix de mercredi dernier et qui soit dit en passant, était un choix fort judicieux.  Ma brochette de capitaine était des plus savoureuse.  En voyant l’enseigne et la façade très italienne du Roma ;  toute blanche avec des immenses colonnes,  on s’est dit :  demain c’est ici qu’on vient manger un spaghetti bolognaise.  Faut dire que les trois, on aime bien les « bolos » comme on dit au Eliwa du Méridien.

Or, jeudi soir, on prends le taxi, on descend à la chic entrée du Roma, le portier nous ouvre la porte, et nous voici dans un très chic intérieur au décor très « bon chic bon genre » ma chère.  Dès notre arrivée dans la salle,  un serveur en veston blanc, chemise blanche et cravate noire, nous indique notre table,  et aussitôt que nous avons pris place, un autre nous apporte le menu.  Le propriétaire vient aussi nous dire « soyez les bienvenues ».  Un autre serveur en blanc me remet un « Menu Madame », il n’y a pas de prix sur ce menu.   La « Madame  gabonaise » aime peut-être ne pas voir les prix,  mais la « Madame canado-gabonaise » de ce soir, elle aime moins.  Considérant les coûts faramineux voire hallucinants qu’elle a vus depuis son arrivée, elle sait qu’elle doit choisir son plat selon le prix.  En vérité, elle ne fait que ça depuis le début, vérifier le prix de TOUT, té o u té tout ce qu’elle regarde et  elle achète si le prix lui convient.  Mais à cet instant-ci, au Roma,  menu « madame » ou pas, elle n’a qu’à écouter les deux qui ont les « Menu Monsieur » en main pour savoir que c’est encore plus hallucinant ici qu’ailleurs.  J’entends :  Linguini primavera est à  13,000 frrancs ?   Escalope de veau milanaise à 21,000 francs ?  et ainsi de suite pour la valse des prix impayables.  

Comme dirait mon amigo Gerardo :  « Ça pas d’alloure ! »   Ce sont des voleurs !

On se pose donc une question :   Comment allons nous sortir du restaurant italien ROMA sans perdre la face, parce qu’on sait bien qu’on y perdra notre  porte monnaie.  Et c’est mon A. qui a eu la bonne idée, voire la brillante et très libératrice idée de demander :  -  Est-ce que vous prenez la carte de crédit Visa ?  - Non monsieur, nous ne prenons pas de carte de crédit.  – Toi, H. est-ce que tu as assez d’argent ? et H. de répondre :  - Non, je pensais aussi payer avec Visa.    – Ah quel dommage, vous ne prenez pas la Visa, alors nous ne pourrons pas manger ici ce soir.

 Et vous voyez les trois se lever et sortir :  OUF ! Quelle bonne idée tu as eu de sortir « la Visa » !  que dit H. à A.  Sachant que le Dolce Vita, mon restaurant italien préféré n’est pas tellement loin, et sachant surtout que même si on ne prends pas la Visa là non plus, on pourra y manger tout ce qu'on veut, puisque les prix sont très abordables.  On ne reprends pas le taxi, on y va à pieds.   C’est à 10 minutes pas plus, le temps de "digérer" les prix qu'on vient de tenter de nous faire "avaler".

Au Dolce Vita,  pour y avoir mangé assez souvent à chaque séjour fait à Libreville, je peux affirmer que c’est là qu’on mange le meilleur spaghetti bolognaise en Afrique.  Et je pense que ce soir, il était encore plus "goûteux"!

Et alors ?  Combien c’était l’addition ?   28 000 francs pour les 3,  bières et grande bouteille d’eau Perrier compris !  La bonne affaire !  


Pour ce qui est du reste, ce séjour a aussi comme thème:  très relaxe.  Je passe toujours mes quelques heures, après avoir fait mon « tour de ville » bien sûr, sous mon parasol avec mon livre, mon Journal l’Union et un magazine.  

La vie est douce et très reposante à Libreville.  Je dirais même plus, en compagnie de H. "la vie à 3"  le soir, c'est fort apprécié.  A. l'aime beaucoup...et moi avec.  

1 juil. 2014

Images de ma salle de séjour!

Quelques images de ma "salle de séjour".  Le ciel est gris, c'est le matin, mais aucune inquiétude, la pluie ne viendra pas.  C'est ainsi à la "petite saison sèche".  En après-midi, il ne manque pas de nous chauffer le soleil.  Mais madame L. est bien installé sous son parasol!

Le soir, sur le grand écran (qu'on voit sur photo 2) nous avons droit au "game" de foot...et quelle ambiance.  Pas le choix de s'y intéressé.  Même dans les restaurants on a droit au foot.

Bon, c'est mardi, et la nonchalance sous les tropiques continue.  Ma marche quotidienne m'attend.




30 juin 2014

Les Priority SPG's de Libreville

Libreville, le 27 juin 2014

J’adooooore l’étiquette « Priority » qu’on nous « colle » lorsque nous voyageons Air France « Premium ».   Aucune file d’attente au « ticketing » du début à la fin, puisqu’il y a à chaque aéroport l’entrée : Sky Priority, ce qui nous permet d’éviter « la foule » de « pauvres sardines économiques » qui s’empilent les uns par dessus les autres à l’embarquement, aux douanes, à la sortie, aux bagages, bref partout quoi.  

Comble du bonheur, même au Méridien on nous a collé une étiquette :   « Client SPG »  (Starwood Preferred Guest) et j’en suis fort aise.   Alors, vous voyez la « Priority SPG », à la 660 du 6e et dernier étage, dans une grande chambre  « Executive » avec lit King et non fumeur.  Un petit coin salon avec une grande table à café,   fauteuil et son « pouf », un grand bureau pour Mosieur, deux placards, vue ville mais caché par ce gigantesque Figuier, qui nous fait un très beau tableau dans la chambre.  Le séjour sera, comme à chaque fois ici, très agréable.    À quel prix ?  Aucune idée.  

C’est ma deuxième journée à Libreville.  Hier, dès 10 heures, je faisais le « tour du propriétaire » question de voir si « ma maison » a changé et si je retrouve le même personnel.  J’ai vu que quelques décors sont différents :   à la piscine par exemple, les chaises longues sont maintenant en « imitation » rotin noir, et beaucoup plus confortable que les transat en tek « du temps ».   Le resto de la piscine  a pris de l’ampleur;  on  a ajouté plusieurs tables au bout de la piscine.  Et qui vois-je ?  Mon tout charmant Édouard, le maître nageur et responsable de « ma salle de séjour ».  Dès qu’il m’a aperçu il est venu me saluer :  Madame L.  Bon arrivée !  Ça fait trrrrrrop longtemps que vous n’êtes pas venu !  Il sait déjà, que demain matin, il devra me réserver la même transat, le même parasol sous le même palmier.  Le séjour sera fort confortable et ici encore, très agréable j’en suis persuadée.  Je suis contente d’être à Libreville.  J’aime bien vivre ici.  


Lundi 30 juin 2014

Quatre jours sont déjà rayés sur le calendrier.  On a vite repris place dans « nos pantoufles » et nos bonnes vieilles habitudes.  Comme aller au Marché M’Bolo samedi par exemple et dîner au resto « Chasse Spleen » et attendre 45 minutes avant d’être servi.    Et comme lézarder sur notre chaise longue à la piscine tout le dimanche aussi.  Et me concernant, comme allée au Centre Affaires, un « genre » de magasin général à bons prix pour acheter des cintres, et autres  bricoles que nous avons besoins à la chambre.  Ce qui m’amène à parler du coût de la vie à Libreville.  C’est l’étonnement à « tout prix » !  Oh la la que c’est cher !  Très cher !  Exrêmenent cher.  Je vais donner quelques exemples :

La Note des SPG’s

Le petit déjeuner « buffet » nous coûte 15,000 francs chacun.  Il faut diviser par 437, puisque 1$ canadien vaut 437 francs CFA.  Vous avez calculez ?   34,24$  multiplié par 2 =  68,65$   Il est très copieux, très bon, mais quand même, c’est du vol à ce prix.  

 Le midi, A. mange à La Parisienne, qui se trouve en bas du Ministère où il travaille.  Ça lui coûte au moins 6,000 francs pour un sandwich et un soda.  Moi je mange au Eliwa,  le resto de la piscine et un Panini avocat-tomate-fromage me coûte 9,000 francs (20,60$) + une petite bouteille d’eau à 2000 francs (4,58$)  et si je choisi un Coca zero c’est  4500 francs (10,30$).  Donc un sandwich + coca = 30,90$.  Et quand vient le soir, on ne s’en tire pas en bas de  28,000 francs, même si on ne mange qu’un spaghetti bolognaise + 1 bière Régab pour monsieur et un coca zéro pour madame.   Il y a un Buffet BBQ et il est à  22,500 francs par personne (51,50$).  Un soir « spécial Priority SPG » ou money ne sera pas un object,  on y goûtera.  

Et que dire de la Blanchessirie ?  Ce matin j’ai fait « la poche » :  2 pantalons, 1 polo, 1 t-shirt, 1 chemise, 1 caleçon, 2 chaussettes :  22,550 francs = 51,60$     OUF !  Et ça ne fait que 4 jours que nous vivons ici.    Bref, nous sommes bouche bée à chaque note qu’on nous présente.  Mais bon, comme ils disent :  c’est Libreville !  Et c’est, si ma mémoire est bonne, la 7e ville la plus cher au monde.  

Les SPG’s,  un soir de Foot ET de Ramadan, au petit resto Libanais :

Samedi soir,  par esprit d’économie et ne voulant pas payer la note trop salée, un repas à l’extérieur était incontournable.  Mais pas loin.  Juste à côté du Méridien, un Libanais tient un petit « bouis-bouis » du nom de Café l’Orient.  Nous le connaissons bien, on y allait en 2009.  Il est 19 heures, nous entrons, et je vois pas moins d’une quinzaine de Libanais attablés avec comme musique de fonds, une partie de Foot de la Coupe mondiale.  Pas une femme !   Il ne reste qu’une table et juste au milieu du restaurant.  Inévitablement, je sentais tous les regards vers nous, aussi bien dire vers moi, et qui avaient l’air de dire :  « qu’est-ce qu’elle foute ici celle-là ? ».  J’ai compris pourquoi lorsque le serveur nous a dit que ce soir il n’y a pas de menu à la carte mais qu’un seul menu puisque c’est le « jeûne » nous-dit-il.   Alors, pour 10,000 francs chacun nous avons eu droit à :   soupe + salade du chef  + poulet grillé et frites + dessert + limonade à volonté.  Ce menu, je l’ai mangé le nez dans mon assiette.  J’sais pas, on s’est senti comme si nous étions attablés chez une famille et que tous nous ignoraient.  Ils ne parlaient que l’arabe, criaient à chaque but, enfin bref, une très drôle d’impression, désagréable que je dirais, nous a habité tout le long du repas.  Vivement la fin !  Le Serveur nous invite à revenir le lendemain, il y aura Chawarma poulet ou viande nous dit-il.  

Devinez où nous étions hier au doir (dimanche) ?  Attablé au Eliwa devant notre spaghetti bolognaise à 25$.  On ne jeûnera plus d’ici la fin du séjour.

Le Royale Palace  

Tant qu’à parler de prix, je vous en parle encore.  Le soir de notre arrivée, un peu soucieuse de la chambre que nous aurions au Méridien, parce que le Dir.Com m’avait écrit sur mail que l’hôtel était complet et qu’une « chambre double » nous était réservé, et que je sais que « double » est un très petit lit voire une très petite chambre avec une très petite fenêtre et qu’il n’est pas question que nous logions 15 jours dans une telle chambre.  Or, je demandais au Taximan si il y avait d’autres hôtels « bien » à Libreville.  Il nous en nomme quelques unes, tenues par des Chinois, mais il n’y a pas de piscine.  Pas de piscine pas question d’y loger.  Et il nous nomme le Royal Palace.  Tiens ?  Juste le nom sonne comme musique à mes oreilles ;-)   Et il est juste à côté du Méridien.   Alors, plutôt que de prendre son entrée il tourne juste avant :   On va aller voir !   dit-il.  Va sans dire, juste la luxueuse entrée nous impressionne et que dire du décor de la piscine ;  le paradis !  Nous demandons les prix.  Ce sont effectivement les prix du paradis :   une chambre standard avec baignoire :  234,000 francs  =   539,17$    - Ok, nous allons voir ce qu’on nous a réservé au Méridien, et on revient si ça ne nous convient pas.    On sait très bien qu’on ne reviendra pas ;  Il faut garder son air digne quand même !    Bien heureusement, contrairement aux écrits du Dir.Com. , le très serviable réceptionniste,  il nous a donné une chambre exactement comme nous avons demandé, mais je ne sais toujours pas à combien.  

La Météo

C’est la « petite saison sèche » à Libreville.  C’est-à-dire que c’est nuageux tous les matins, que vers 10 h 30 le soleil se pointe, et que la température tourne autour des 27 degrés le jour.  Le soir, c’est assez frais, je dirais autour de 20 degré, la brise de la mer est rafraîchissante toute la journée, alors c’est très supportable, très confortable et le jour et le soir.

C’est là-dessus que je ferme la fenêtre de mon carnet.    Je dois aller prendre ma marche quotidienne et m’acheter des bananes aussi.  La semaine, nous prenons le petit-déjeuner à la chambre :  Corbeille du boulanger :  2 croissants chocolat, 2 croissants, 2 pains au raisin, 3 petits pains,  3 petits pots de confiture (il y en a en masse pour les 2 SPG’s)   + 2 pots de café + 1 lait pour mon café.  Ce festin nous coûte la modique somme de 10,000 francs (22,88$).  C’est quand même mieux qu’au buffet et c’est très bon.  





17 juin 2014

Voyage à l'horizon!

Il y a quelques semaine, à peine, j'écrivais ceci:  

"On est là dans notre réflexion!  Voyager pour être réellement en vacances...et ensemble,  tous les deux.  Pas un qui travaille et l'autre qui fait tout pour s'occuper en attente du retour de son chevalier! 

À suivre?"


La suite ne s'est pas fait attendre bien longtemps.  D'ici quelques jours, je vous raconterai un nouveau chapître, une nouvelle aventure et africaine cette fois-ci mais toujours "sur le même thème":  Un qui travaille et l'autre qui s'occupe en attente du retour du guerrier!

A. devait être au boulot ce lundi 16 juin.  Mais?  Pas de Visa pas de voyage!  Nous avons reçu nos Visas que ce matin.  Ça fait une semaine que nous les attendons.  Les valises sont prêtent, le frigo est vide, on "attends l'avion" pour la 95ième fois de notre vie.  

Mais ce n'est pas chose décidé chose faite:  il nous reste à acheter, je devrais dire à tenter de trouver un vol le plus rapidement possible et aussi et surtout une chambre de libre là où nous allons.  Les deux ne sont pas choses faciles à trouver.  Plus de place sur Air France pour les 6 prochains jours et touttttes les hôtels  affichent complet.  

Que ferons-nous?  La débrouille!  comme toujours!

Je vous reviens donc sous peu avec le détail, la suite de nos recherches.



4 juin 2014

En détresse a l'Aeropuerto de Mexico ce 30 mai 2014

Une femme en détresse à l'aeropuerto de Mexico.

Il est 1 h 30 le matin.  On a MANQUÉ notre VOL!

Revenons à une heure plus tôt.

On demande aux passagers de el vuelo 680, de se présenter à la porte pour le départ.  Les A et B d'abord.  Nous voilà en ligne, passeport et billet en main.  C'est notre tour;  je remet et mon billet et mon passeport au préposé.

-Donde es tu Carta de immigracion?

Je lui dit que nous n'en avons pas.  Il insiste que nous l'avons, de fouiller dans notre valise, que nous l'avons.  Nous répétons que non, nous ne l'avons pas.

- Vous ne pouvez pas prendre l'avion sans cette Carta de Immigracion.  Allez à la Porte 62 (nous sommes à la 66) au Bureau de Immigracion.

Il est 12 h 40... Le départ est à 1 h 20

Vous nous voyez courir dans le corridor, chercher où est le fameux Bureau, demander, chercher, demander, pour enfin le trouver.  On entend dans les hauts-parleur notre nom et que c'est le dernier appel.

Je me dis ça y est!  C'est fichu!  Nous manquons notre vol!  Je ne comprends pas pourquoi on exige cette Carta.  Ça fait 5 fois que nous venons à Mexico.  NUNCA (jamais) on a eu une telle carte.  L'ALENA?  Ça vous dit quelque chose?  Il semble que non au Mexique.  On a besoin d'une Carta pour SORTIR du pays.  Je comprends qu'on exige un Passeport pour entrer.  Qu'il y aurait problèmes si on ne l'avait pas.  Mais nous empêcher de SORTIR d'un pays parce qu'on a pas un petit bout de carte sur laquelle est inscrit la date où nous sommes rentrés?  C'est écrit sur la Passeport que nous avons dit à l'air bête qui nous a refusé l'embarquement.

On continue quand même l'opération Carta.  On a pas le choix, ça nous la prends sans faute.   Et c'est très très compliqué que d'obtenir ce petit bout de carton.  En fait, c'est une demande de Visa à voir tout les documents qu'il nous fait signer, les photocopie du passeport, les déclarations de ceci-cela.  Et le coût aussi:  600 pesos!  

Nous n'avons plus un rond en poche.  Il me reste 100 pesos.  A. doit courrir pour aller à un Guichet pour retirer l'argent.  Le tout terminé, je veux ressortir par là où nous sommes rentré.  Pas question.  Nous devons repasser à la "Policia", qui nous refouille encore.  Et nous courrons, qui sait?  Peut-être avons nous encore quelques minutes?

Retour à la porte 66:  FERMÉ!  Impossible d'embarquer!  que nous dit l'air bête qui nous a envoyé au Bureau de l'Immigracion.  Je le soupçonne d'être content de nos emmerdes.  Je ne le soupçonne pas, je suis certaine!

C'est samedi 1er juin, il est 1 h 20 le matin.  Nous sommes debout depuis vendredi 30 mai,  6 heures du matin.  Nous sommes fatigués! Épuisés! Stressés par tout ce chambardement et les courses au travers les corridors.

Assis sur les bancs où nous étions + d'une heure avant, j'ai le goût de brailler.  Putain de merde!  Qu'est-ce que je fais ici?  Que c'est-il passé?  Qu'est-ce qu'on fait maintenant?  À ce moment là,  tous les malheurs nous viennent en tête.  Mexico n'est pas reconnu être une ville sécuritaire pour deux étrangers.  L'Aeropuerto encore moins.  Prendre un taxi est une aventure qui peut se terminer en "prise d'otage".   On va où? On fait quoi?

À cette heure-là, dans la zone départ, il n'y a que les "nettoyeurs" et quelques passagers, qui comme nous, ont certes manqué leur vol.  Ils sont couchés sur le sol, quelques uns sur les bancs qui ne sont pas encore "couchés" par terre.  Et puis il y a nous, assis dans un coin tranquille.  C'est plus confortable par terre que sur un banc.  Et je suis découragée!

C'est le moment de détresse de ce voyage.  Nous avons vécus bien des histoires en 35 ans de voyages.  Mais celle-ci est très difficile à vivre.  Surtout au Mexique.  Nous sommes très fatigués.  Mais on ne se laisse pas "sombrer" dans le désespoir. On va en venir à bout qu'on se dit.

Je sais bien que de l'autre côté de la Zone départ, tout est fermé.  Alors on décide d'attendre 6 heures le matin pour retraverser et tenter de régler notre problème.  On se promène un peu, on va prendre un café au Starbuck, un croissant chocolat avec ça?  Et pi on se ré-assoit et pi on remarche encore et enfin, vient le 6 heures attendu.

Una Policia nous permet de traverser la zone.

Dès que nous sommes de l'autre côté, on voit que des "voyageurs" commencent à circuler.  Il y a de l'activité.  Les boutiques commencent à ouvrir.  

- Cherchons l'Agence de voyages - Aeromexico!

Et c'est là que la plupart de nos soucis ce sont réglés.

Problème numéro 1:  OUF!   il reste que 2 places pour le vol de Dimanche matin 1 h 20.  Et pas besoin de racheter un autre billet.  600 pesos chacun pour refaire un billet.

Problème numéro 2:

A. demande à l'Agent:  Y a-t-il un hôtel près de l'Aéroport?

L'agent:  Si, il en a un "dedans" l'aéroport.  Prenez la porte à gauche, longez le corridor, et à gauche toujours le NH Aeropuerte est là!



Quel BONHEUR!  Quel bel hôtel!  Nous voici dans une belle et grande chambre.  On va ENFIN DORMIR!

Ce que nous avons fait, mais que 4 heures.  Je crois que le stress nous tient "debout".  Nous avons bien du temps devant nous;  on va prendre le petit déjeûner, un buffet fort varié et savoureux.  Ensuite, comme l'Agent nous avait dit d'aller chercher nos valises, c'est l'occupation suivante.  Nous pensions le contraire.  Qu'ils étaient sur le vol manqué.  Et bien non, il faut aller au "Bagage Claim".  Une aventure encore.  Donde es le bagage claim?  On trouve, on récupère, on ramène dans la chambre, et à 20 h 30 on retourne au "Bagage Drop" et au "Check-in" pour s'enregistrer.

Ici, on se dit que l'aventure prendra fin sous peu.  On a le billet en poche.  La cri%%$$$##@@@@sse de CARTA de merde broché sur le billet.  Et c'est l'air bête d'hier qui nous l'a broché.  Qui nous a donné nos carte d'embarquement.  Inutile de vous dire que nous aussi on a notre air bête avec lui.  Je le déteste!

Et pi on attends le départ!

OUF! Quelle journée!  

Bien heureusement nous l'avons passée dans le calme et le confort.  Dans le luxe aussi.  Il est très luxueux le NH Aeropuerto.  Le restaurant est très bien.   Le Buffet International du soir est des plus savoureux.

Et à 23 heures, nous retraversons la zone, refouille de nos bagages cabines, et ENFIN...

à 1 h 20 nous prenons place aux 15 A et 15 B

ADIOS MEXIHO!!!!!!

BIENVENUE CANADA!!!!!

Il nous fallait récupérer l'auto au Marriott et retourner à la maison.  Je suis un peu inquiète, parce que en 48 heures nous avons dormi que 4 heures.  Le chauffeur parviendra-t-il a faire tout le trajet?  Pour faire une histoire courte, à l'Ange Gardien on a été obligé d'arrêté au Macdonald pour prendre un petit déjeuner mais surtout boire un CAFÉ.  A. a failli s'endormir.  C'est l'accotement...tsé?...quand tu le prends et ça fait un vacarme qui te réveille?  bin c'est ce qui nous a obligé à boire un café bien corsé.

En rentrant dans la maison:  direction LIT.  DORMIR.  Nous avons dormis quasiment durant 2 jours.

J'écris ce blogue mercredi 4 juin.  Ça fait donc 4 jours que nous sommes revenus.  Et ce n'est pas facile.  C'est pire que si nous étions en décalage horaire.  Porque?  Je ne sais pas.  On est vraiment tout à l'envers.

Nous devions reprendre un avion, le 12 juin prochain.  Pour le GABON.   Je ne crois pas que ça sera le cas.  A. va refuser...et pour toutes sortes de raison!  Je pense que je ne vais plus vous raconter des carnets "voyages affaires".  On commence à en avoir marre.  J'ai marre de payer de mes poches ces voyages.

On est là dans notre réflexion!  Voyager pour être réellement en vacances...et ensemble,  tous les deux.  Pas un qui travaille et l'autre qui fait tout pour s'occuper en attente du retour de son chevalier!

À suivre?

29 mai 2014

Il est temps de rentrer.  Je dois me reposer.  Les Fiestas, les dîners, les soupers, les sorties, le magasinage, j'en ai jusqu'aux oreilles!  Soy muy canssado!  Hoy, je reste bien tranquilo a la habitacion, et je prépare las maletas...les valises.
 
  On ne rentre jamais avant 22 heures.   On mange à des heures impossible, on mange toutes sortes d'affaires qui nous dérangent un peu l'estomac.  Je me suis achetée du Pepto Bismol, lundi, porque...tsé? 
 
Demain, 18h55 el vuelo 2083 nous amène à Mexico et despues el vuelo 680 à  01:25 le matin nous ramène a la CASA!  J'ai hâte de rentrer!  On a pas le choix de faire un vol de nuit, parce qu'il ne faut pas déranger les citoyens de Dorval qui dorment la nuit.  Quelle affaire que cet aéroport Trudeau!  On arrivera donc à 7 h 40 le matin, on va prendre la BM au garage du Mariott, et après allez savoir cé quoi la route du retour! 
 
Mais avant notre départ, je vais faire un dernier tour de piste los mochis et en image. 
 
Vous voyez là où j'écris présentement.  Devant ma vitrine, vue sur Los Mochis, bien confortablement avec mi vasso de limonada qu'on vient de me servir  Elle était muy confortable la Suite Ejecutivo 501.  Ce matin, j'ai donné mucho regalos para ''Daisy'' la femme de chambre. 
 
 

Ici c'est la rue que je prends pour aller faire mon magasinage du matin.  Bien sûr quand on m'a laissé un peu de temps libre.   Depuis deux jours il fait un peu moins chaud:  30 degrés...je songe à me mettre ''une petite laine'' tellement il y a une différence avec les 42 et 45 des premiers jours.


Au Mexique, contrairement au Québec, on se fréquente...on se fiance...et on fait le Grand Mariage.  Voire même, le fiancé demande la main de sa dulcinée au papa.  Et comme il y a des années...des années...chez-nous...on fête la ''despedida de soltera'' (l'enterrement de vie de célibataire).  Dommage, c'est de l'histoire ancienne ça, chez-nous.    Ayer on m'a invitée à celle de Jazmin.  Que allegria Fiesta!  Les Mariachis surtout qui m'ont enhantés et impressionnés.  Et aussi les remarquables, ces muy bonita et muy sexy mexicanas.   Elles n'ont pas peur d'afficher leur féminité.  Je pense à celles qu'on voit de plus en plus au Québec...tsé?  Celles qui se cachent la tête?  Qui déguisent le décor de ma ville? 




Et on ma donné un regalo...encore une autre paire de sandales.  Je ne vous dirai pas combien ça me fait, mais André a acheté une otra maletas pour tout mettre.  Des regalos, j'en ai reçus quasiment tous les jours:  des boucles d'oreilles, un bracelet con des perlas del Rio, des sandales, j'ai comme l'impression qu'on l'aime bien la Señora Sousssssanne! 

 !

Un poquito video para escouchar Los Mariachis!


Après mes deux semaines à Los MOchis, je me dis qu'on est pas mal ''drabe'' chez-nous. J'sais pas, on manque de ''couleur'' de ''saveur''.  Les Mexicains sont tellement:   Allegria!  Agradable!  Amable!  Et oh bonheur, ils me disent que  Yo Soy une Sinaloense!  Ce qui est un très beau compliment.

 Et c'est sur cette note rempli d'humilité que je vous dis:  Hasta Luego!

26 mai 2014

Dimanche dernier c'était El Fuerte.  Hier, c'était un dimanche sur El Yatch de mes très millionnaires amis mexicains.  Et millionnaire est peu dire.  Je l'appelle Senor Los Mochis.   Comme une balade en Yatch est pas facile à raconter...je la met en image.  Mais d'abord voici la vue que j'ai de la habitacion 501.  On ne voit aucun building de plus de 2 étages, sauf celui qu'on voit au loin.  C'est un immeuble à condos, et ça fait déjà quelques années qu'il est construit.  Il y a encore des condos à vendre.  Les mexicains n'aiment pas. 

  Et c'est la rue que je prends pour aller marcher...et magasiner.


 
 
 
Et en magasinant...je me suis acheté quoi?  Hé oui, je suis comme Celine Dion et Imelda Marcos, j'achète des sandales.  Une paire de rouge.....
 Une paire de negra....
 Et une paire avec des diamants...

Samedi, c'était jour de congé pour les deux...on a demandé à nous laisser tranquilo.  Nous sommes allés au Centro Commercial...d'abord c'est climatisé...et ensuite il y a de très belles boutiques...ET...le grand magasin Liverpool où on s'est acheté une cafetière Nestcafe très très originale.  Ici nous prenons le lunch du midi...Fajita de aracherra...

Et El Senor il attend....avec quelques sacs.....et notre belle cafetière. 
 
 
 
LE jour de la balade sur El Yatch.  En chemin, un arrêt au vendeur de chapeaux.  C'est important à cause du soleil.....La < > a choisi celui-ci....

 
 Arrivée à la petite marina privée de ''monsieur Los Mochis''...
 
 Le Yatch en question est celui de gauche...cette photo a été prise en fin de journée...comme je n'ai plus de pile...c'est la dernière...voilà porque on ne voit pas le yatch en entier....mais il est semblable à celui de droite.

Et c'est un départ...pour una maravillosa dia!

C'est Leonardo Di Caprio qui a pris la photo  de la señora sur le Titanic...cé quoi la chanson?
 
 
 


 Elle est pas belle la vie?
 
 
 
Au loin on voit le petit village de pêcheurs:  Topolobampo......où le Chef a son bateau...il pêche la crevette mais aussi la poulpe.  Et il nous a concocté de très bonnes salades..et des piments farci aussi...et pi...et pi...on se régale...Oh la la!
 
Il y en a qui nous accompagne durant  la randonnée......

 
'Un peu plus près...le village...et c'est le millionnaire qui fait **la malecon** c'est-à-dire le  boulevard du bord de mer...entre autres bien sûr...
 
 
 Encore plus près:


Un homme à babord!!!!!! que dit Leonardo Di Caprio!

La Señora Soussanne....es muy feliz!  
 
 

Tout au long de la randonnée...ce sont ces magnifiques paysages qui nous décorent la vue...et la musique sinaloaise et mexicaine qui nous accompagne rend cette journée mémorable!






Comme vous le voyez...de la limon (lime) il y en a partout...tout le temps...pour manger tout tout tout...on en met dans toutes les plats et les breuvages.....Et sur El Yatch, c'est le Chef Ricardo qui a concocté de délicieux plats...

Et pi encore plus près.....de TOPOLOBAMPO...


Les quatre très millionnaires:   2 vrais...2 faux...mais l'amitié elle est très vraie!

 

Voilà, on revient à la marina.  Un adios à Ricardo le Chef,
 
 
et au Capitaine.....

LOS MOCHIS une semaine plus tard


Ça fait une semaine que je suis ici.  Pour être bien franche,  l’imagination me manque pour écrire mes carnets.  Et pi internet qui c’est aussi mis de la partie;  depuis  vendredi que je suis incapable de me connecter.   Sans oublier la chaleur accablante, qui ralenti le rythme.   Le cerveau fonctionne pas mal plus lentement.  Marcher sur la rue, on le fait bien tranquilo. On mange que du poisson.  Pas le goût de ‘’carne’’ par une chaleur pareil.  Impossible de me faire bronzer plus d'une heure. 

Depuis une heure, la connexion est revenue à la Suite Executive 501.   Je me suis dit, c'est ce matin où jamais que je raconte...un peu...mon vécu los mochien.

Avant de partir, j’avais lu sur Los Mochis.  De ce qu’on en disait, Je croyais me faufiler au travers des balles perdues des Narcotrafiquants, en prenant mes marches matinales.  Je pensais même ne pas être capable de marcher sur la rue, parce que  non securidad.    Ce n’est pas du tout le cas.    Je me promène, depuis une semaine,  en luxueux  Range Rover,  avec mon amiga Adellita qui est la esposa du très millionnaire pour qui André travaille.  Un jour c’est pour le shopping, l’autre c’est pour la Pedicura-manicura et le lendemain c’est pour la Estylista (Esthéticienne-coiffeuse).  Entre  tout ça, ou bien on mange au restaurant ou bien on mange chez-elle et avant de rentrer à l’hôtel on déguste un savoureux sorbet au pitaya (fruit du cactus).  Ce qui fait que la très millionnaire Soussanne,  (enfin en apparence) elle est très occupée, jamais dans sa chambre aussi bien dire jamais à l'hôtel;    elle rentre à la maison vers les 17 heures.   A. n’est toujours pas rentré.  

Je croyais aussi, comme je le fais dans mes séjours africains, qu'en fin d’après midi, en attente du retour du guerrier, je lirais mon roman, sous un palmier.  J’avais apporté 3 livres dans mis maletas.  C’est la première fois de ma vie qu’après une semaine, je suis rendu qu'à la page 137 de mon premier livre.  Et il y en a 540.  D’habitude,  j’aurais lu mon deuxième livre.   Je suis occupée comme jamais. 

Tout de même, j’ai eu mes matins de libre, et je suis allée une heure à la piscine.  Je ne peux pas plus d’une heure, il fait extrêmement chaud :  40 degré minimum.    J’ai aussi eu deux matins de libres pour aller faire un peu de shopping sur la rue principale.  Et......

 

Yo me perdir (Je me suis perdu)  

Lundi matin, après la piscine, je me suis dit qu’il est temps d’aller **faire connaissance** avec mon quartier et de marcher sur ladite rue principale.  Une petite mappa en poche, j’ai pris  l’Avenida Gabriel Leyva, qui est la rue principale.   Je marche donc, tout droit toujours, jusqu’à ce qu’un magasin de zapaterias (chaussures) m’appellent.  Il est grand le magasin et il y a plusieurs sorties.  C’est une sortie qui est coupable de mon aventure.  Yo me perdir!  Je n’ai pas pris la bonne porte, donc pas la bonne calle pour retourner au Plazza Inn.  Ça m’a quand même pris un certain temps pour m’en apercevoir.  J’étais trop occupée à magasiner dans les boutiques, sans me rendre trop trop compte que je n’étais pas sur la bonne rue.    À un moment donné, je ne voyais plus mes repères, plus je marchais plus  tout m’était étranger.  La petite mappa en main, j’ai demandé à un policier :  mi casa es Plaza Inn, yo me perdir, como yo regressar a mi casa?  (comme vous le voyez je baragouine la langua, mais oh bonheur ils me comprennent).  Je lui montre sur la mappa et il  me dit dans la langua que je baragouine de remonter les 5 coins de rues que je viens de faire, de tourner à droite et de continuer jusqu’à mi casa.  Il fait une chaleur intense et à la limite du supportable.  J’arrête donc dans un OXXO (un dépanneur) pour m’acheter une botella de agua.  Je l’ai fait deux fois en route.  Ce qui me donnait un peu d’énergie pour me rendre jusqu’au Plaza Inn.  Pour faire une histoire courte, je suis partie de mi casa à 11heures et je suis rentrée à 15 h 30 épuisée.   Inutile de vous dire que j’avais le dessous des talons ‘’usés’’ et que je peinais à marcher.  Martes, j’ai fait la plancha et à  la piscine et dans ma habitacion 501.  Je ne suis sortie que lorsqu’on A. et les mexicains sont  venu me chercher pour manger.   On se gave de fruits de mer.   Les  camarones (crevettes) et polpos (poulpes), les pescados,  Ils sont pêchés ici, au très beau et charmant village de Topolobampo. 
 
  Il me vient en tête que des... nous avons fait ceci, nous avons fait cela, nous sommes allés là, en fait je déteste raconter par des nous avons fait.  Je vais donc vous mettre en image mon séjour. 
 
 
 Le Sinaloa est le paradis de la tomate.  On en cultive à la tonne et on l'exporte.  Forcément, on la voit sur les plaques d'immatriculations. 
Première sortie dès le premier jour du séjour:  El Fuerte!  (Le fort)  En route, un arrêt pour manger de délicieux petit pains chauds,  fourrés de sucre de canne et cuit sur place dans le four que vous voyez au fond...muy rico!  (très bon)
 
Décor et paysage tout au long de la route jusqu'à El Fuerte! 
 
 Visite de la Mairie.  Vieil édifice centenaire,  colonial,  très bien entretenu. 
 
 
 La Señora Soussane et El Senor Andre!   Ah l'amor...siempre l'amor!

 
 Nous sommes à la maison de EL ZORRO.  On dit que cette légende est basé sur un fait réel:  Ce mexicain volait les riches pour donner aux pauvres.  Mais à voir et visiter sa maison, je constate qu'il était très riche lui-même. 

 
 Le salon extérieur...une très belle terrasse...ou vous voyez la Senora se ventiler...porque il fait extrêmement chaud!  Muy caliente!
 
 
 92 DEGRÉS À L'OMBRE!!!!!

 
 Soussanne fait une prière a la Virgen de la Guadalupe...

 
 Autre salon, autour de la terrasse  
 N'est-il pas maravillosa le jardin intérieur de El Zorro!
 
 Au fond, la porte de la chambre de El Zorro! 

 
Et Soussanne dedans la chambre avec El Zorro himself!


 
 El Fuerte!  Y fait chaud, très chaud, mais il nous faut le visiter......
 OH la la le gros cactus!!!
 Vu su Sinaloa que nous avons du fort..
 
 
Après les longues heures de marche à la chaleur, un délicieux repas de langoustines et une rafraîchissante limonade.  Et les langoustines...elles sont pêchés ici même...à Topolobampo...qui est à 20 minutes de Los Mochis...
 
 
 
Et voici mon petit coin...ou je passe une heure...no mas!  On vient me servir une Copa de limonada...et esta limonada...on en boit partout...tout le temps:  au resto, dans la chambre,  à la piscine, partout partout partout!
 
 
 La voiture de mon amiga Adellitta!  Celle qui entre dans la voiture...j'écris pas sur elle...je ne veux pas être impolie sur mon blogue.  Nous sommes que 2 québécoises à Los Mochis, et elle trouve le temps d'être fort désagréable.  Pour être bien franche,  ça ne me défrise pas du tout.

 
Mais celle-ci, elle est loin d'être désagréable... mi amiga Teresa.   Nous sommes sur la plage de Topolobampo.  Petit village de pêcheurs...ou un soir nous sommes allés prendre une marche, acheter des petits **cossins** dans un kiosque de souvenir.  Je me suis achetée un collier fait main avec des feuilles de mais (je ne trouve pas le tréma).    La vida es bella a Los Mochis!é

OUF!  J'ai réussi a tout écrire, mais bordel que c'est pas facile le faire avec ce maudit PC. 

Bon, je ferme, avant de le garocher par la fenêtre!   
Hasta Luego!
 
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