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30 juin 2014

Les Priority SPG's de Libreville

Libreville, le 27 juin 2014

J’adooooore l’étiquette « Priority » qu’on nous « colle » lorsque nous voyageons Air France « Premium ».   Aucune file d’attente au « ticketing » du début à la fin, puisqu’il y a à chaque aéroport l’entrée : Sky Priority, ce qui nous permet d’éviter « la foule » de « pauvres sardines économiques » qui s’empilent les uns par dessus les autres à l’embarquement, aux douanes, à la sortie, aux bagages, bref partout quoi.  

Comble du bonheur, même au Méridien on nous a collé une étiquette :   « Client SPG »  (Starwood Preferred Guest) et j’en suis fort aise.   Alors, vous voyez la « Priority SPG », à la 660 du 6e et dernier étage, dans une grande chambre  « Executive » avec lit King et non fumeur.  Un petit coin salon avec une grande table à café,   fauteuil et son « pouf », un grand bureau pour Mosieur, deux placards, vue ville mais caché par ce gigantesque Figuier, qui nous fait un très beau tableau dans la chambre.  Le séjour sera, comme à chaque fois ici, très agréable.    À quel prix ?  Aucune idée.  

C’est ma deuxième journée à Libreville.  Hier, dès 10 heures, je faisais le « tour du propriétaire » question de voir si « ma maison » a changé et si je retrouve le même personnel.  J’ai vu que quelques décors sont différents :   à la piscine par exemple, les chaises longues sont maintenant en « imitation » rotin noir, et beaucoup plus confortable que les transat en tek « du temps ».   Le resto de la piscine  a pris de l’ampleur;  on  a ajouté plusieurs tables au bout de la piscine.  Et qui vois-je ?  Mon tout charmant Édouard, le maître nageur et responsable de « ma salle de séjour ».  Dès qu’il m’a aperçu il est venu me saluer :  Madame L.  Bon arrivée !  Ça fait trrrrrrop longtemps que vous n’êtes pas venu !  Il sait déjà, que demain matin, il devra me réserver la même transat, le même parasol sous le même palmier.  Le séjour sera fort confortable et ici encore, très agréable j’en suis persuadée.  Je suis contente d’être à Libreville.  J’aime bien vivre ici.  


Lundi 30 juin 2014

Quatre jours sont déjà rayés sur le calendrier.  On a vite repris place dans « nos pantoufles » et nos bonnes vieilles habitudes.  Comme aller au Marché M’Bolo samedi par exemple et dîner au resto « Chasse Spleen » et attendre 45 minutes avant d’être servi.    Et comme lézarder sur notre chaise longue à la piscine tout le dimanche aussi.  Et me concernant, comme allée au Centre Affaires, un « genre » de magasin général à bons prix pour acheter des cintres, et autres  bricoles que nous avons besoins à la chambre.  Ce qui m’amène à parler du coût de la vie à Libreville.  C’est l’étonnement à « tout prix » !  Oh la la que c’est cher !  Très cher !  Exrêmenent cher.  Je vais donner quelques exemples :

La Note des SPG’s

Le petit déjeuner « buffet » nous coûte 15,000 francs chacun.  Il faut diviser par 437, puisque 1$ canadien vaut 437 francs CFA.  Vous avez calculez ?   34,24$  multiplié par 2 =  68,65$   Il est très copieux, très bon, mais quand même, c’est du vol à ce prix.  

 Le midi, A. mange à La Parisienne, qui se trouve en bas du Ministère où il travaille.  Ça lui coûte au moins 6,000 francs pour un sandwich et un soda.  Moi je mange au Eliwa,  le resto de la piscine et un Panini avocat-tomate-fromage me coûte 9,000 francs (20,60$) + une petite bouteille d’eau à 2000 francs (4,58$)  et si je choisi un Coca zero c’est  4500 francs (10,30$).  Donc un sandwich + coca = 30,90$.  Et quand vient le soir, on ne s’en tire pas en bas de  28,000 francs, même si on ne mange qu’un spaghetti bolognaise + 1 bière Régab pour monsieur et un coca zéro pour madame.   Il y a un Buffet BBQ et il est à  22,500 francs par personne (51,50$).  Un soir « spécial Priority SPG » ou money ne sera pas un object,  on y goûtera.  

Et que dire de la Blanchessirie ?  Ce matin j’ai fait « la poche » :  2 pantalons, 1 polo, 1 t-shirt, 1 chemise, 1 caleçon, 2 chaussettes :  22,550 francs = 51,60$     OUF !  Et ça ne fait que 4 jours que nous vivons ici.    Bref, nous sommes bouche bée à chaque note qu’on nous présente.  Mais bon, comme ils disent :  c’est Libreville !  Et c’est, si ma mémoire est bonne, la 7e ville la plus cher au monde.  

Les SPG’s,  un soir de Foot ET de Ramadan, au petit resto Libanais :

Samedi soir,  par esprit d’économie et ne voulant pas payer la note trop salée, un repas à l’extérieur était incontournable.  Mais pas loin.  Juste à côté du Méridien, un Libanais tient un petit « bouis-bouis » du nom de Café l’Orient.  Nous le connaissons bien, on y allait en 2009.  Il est 19 heures, nous entrons, et je vois pas moins d’une quinzaine de Libanais attablés avec comme musique de fonds, une partie de Foot de la Coupe mondiale.  Pas une femme !   Il ne reste qu’une table et juste au milieu du restaurant.  Inévitablement, je sentais tous les regards vers nous, aussi bien dire vers moi, et qui avaient l’air de dire :  « qu’est-ce qu’elle foute ici celle-là ? ».  J’ai compris pourquoi lorsque le serveur nous a dit que ce soir il n’y a pas de menu à la carte mais qu’un seul menu puisque c’est le « jeûne » nous-dit-il.   Alors, pour 10,000 francs chacun nous avons eu droit à :   soupe + salade du chef  + poulet grillé et frites + dessert + limonade à volonté.  Ce menu, je l’ai mangé le nez dans mon assiette.  J’sais pas, on s’est senti comme si nous étions attablés chez une famille et que tous nous ignoraient.  Ils ne parlaient que l’arabe, criaient à chaque but, enfin bref, une très drôle d’impression, désagréable que je dirais, nous a habité tout le long du repas.  Vivement la fin !  Le Serveur nous invite à revenir le lendemain, il y aura Chawarma poulet ou viande nous dit-il.  

Devinez où nous étions hier au doir (dimanche) ?  Attablé au Eliwa devant notre spaghetti bolognaise à 25$.  On ne jeûnera plus d’ici la fin du séjour.

Le Royale Palace  

Tant qu’à parler de prix, je vous en parle encore.  Le soir de notre arrivée, un peu soucieuse de la chambre que nous aurions au Méridien, parce que le Dir.Com m’avait écrit sur mail que l’hôtel était complet et qu’une « chambre double » nous était réservé, et que je sais que « double » est un très petit lit voire une très petite chambre avec une très petite fenêtre et qu’il n’est pas question que nous logions 15 jours dans une telle chambre.  Or, je demandais au Taximan si il y avait d’autres hôtels « bien » à Libreville.  Il nous en nomme quelques unes, tenues par des Chinois, mais il n’y a pas de piscine.  Pas de piscine pas question d’y loger.  Et il nous nomme le Royal Palace.  Tiens ?  Juste le nom sonne comme musique à mes oreilles ;-)   Et il est juste à côté du Méridien.   Alors, plutôt que de prendre son entrée il tourne juste avant :   On va aller voir !   dit-il.  Va sans dire, juste la luxueuse entrée nous impressionne et que dire du décor de la piscine ;  le paradis !  Nous demandons les prix.  Ce sont effectivement les prix du paradis :   une chambre standard avec baignoire :  234,000 francs  =   539,17$    - Ok, nous allons voir ce qu’on nous a réservé au Méridien, et on revient si ça ne nous convient pas.    On sait très bien qu’on ne reviendra pas ;  Il faut garder son air digne quand même !    Bien heureusement, contrairement aux écrits du Dir.Com. , le très serviable réceptionniste,  il nous a donné une chambre exactement comme nous avons demandé, mais je ne sais toujours pas à combien.  

La Météo

C’est la « petite saison sèche » à Libreville.  C’est-à-dire que c’est nuageux tous les matins, que vers 10 h 30 le soleil se pointe, et que la température tourne autour des 27 degrés le jour.  Le soir, c’est assez frais, je dirais autour de 20 degré, la brise de la mer est rafraîchissante toute la journée, alors c’est très supportable, très confortable et le jour et le soir.

C’est là-dessus que je ferme la fenêtre de mon carnet.    Je dois aller prendre ma marche quotidienne et m’acheter des bananes aussi.  La semaine, nous prenons le petit-déjeuner à la chambre :  Corbeille du boulanger :  2 croissants chocolat, 2 croissants, 2 pains au raisin, 3 petits pains,  3 petits pots de confiture (il y en a en masse pour les 2 SPG’s)   + 2 pots de café + 1 lait pour mon café.  Ce festin nous coûte la modique somme de 10,000 francs (22,88$).  C’est quand même mieux qu’au buffet et c’est très bon.  





17 juin 2014

Voyage à l'horizon!

Il y a quelques semaine, à peine, j'écrivais ceci:  

"On est là dans notre réflexion!  Voyager pour être réellement en vacances...et ensemble,  tous les deux.  Pas un qui travaille et l'autre qui fait tout pour s'occuper en attente du retour de son chevalier! 

À suivre?"


La suite ne s'est pas fait attendre bien longtemps.  D'ici quelques jours, je vous raconterai un nouveau chapître, une nouvelle aventure et africaine cette fois-ci mais toujours "sur le même thème":  Un qui travaille et l'autre qui s'occupe en attente du retour du guerrier!

A. devait être au boulot ce lundi 16 juin.  Mais?  Pas de Visa pas de voyage!  Nous avons reçu nos Visas que ce matin.  Ça fait une semaine que nous les attendons.  Les valises sont prêtent, le frigo est vide, on "attends l'avion" pour la 95ième fois de notre vie.  

Mais ce n'est pas chose décidé chose faite:  il nous reste à acheter, je devrais dire à tenter de trouver un vol le plus rapidement possible et aussi et surtout une chambre de libre là où nous allons.  Les deux ne sont pas choses faciles à trouver.  Plus de place sur Air France pour les 6 prochains jours et touttttes les hôtels  affichent complet.  

Que ferons-nous?  La débrouille!  comme toujours!

Je vous reviens donc sous peu avec le détail, la suite de nos recherches.



4 juin 2014

En détresse a l'Aeropuerto de Mexico ce 30 mai 2014

Une femme en détresse à l'aeropuerto de Mexico.

Il est 1 h 30 le matin.  On a MANQUÉ notre VOL!

Revenons à une heure plus tôt.

On demande aux passagers de el vuelo 680, de se présenter à la porte pour le départ.  Les A et B d'abord.  Nous voilà en ligne, passeport et billet en main.  C'est notre tour;  je remet et mon billet et mon passeport au préposé.

-Donde es tu Carta de immigracion?

Je lui dit que nous n'en avons pas.  Il insiste que nous l'avons, de fouiller dans notre valise, que nous l'avons.  Nous répétons que non, nous ne l'avons pas.

- Vous ne pouvez pas prendre l'avion sans cette Carta de Immigracion.  Allez à la Porte 62 (nous sommes à la 66) au Bureau de Immigracion.

Il est 12 h 40... Le départ est à 1 h 20

Vous nous voyez courir dans le corridor, chercher où est le fameux Bureau, demander, chercher, demander, pour enfin le trouver.  On entend dans les hauts-parleur notre nom et que c'est le dernier appel.

Je me dis ça y est!  C'est fichu!  Nous manquons notre vol!  Je ne comprends pas pourquoi on exige cette Carta.  Ça fait 5 fois que nous venons à Mexico.  NUNCA (jamais) on a eu une telle carte.  L'ALENA?  Ça vous dit quelque chose?  Il semble que non au Mexique.  On a besoin d'une Carta pour SORTIR du pays.  Je comprends qu'on exige un Passeport pour entrer.  Qu'il y aurait problèmes si on ne l'avait pas.  Mais nous empêcher de SORTIR d'un pays parce qu'on a pas un petit bout de carte sur laquelle est inscrit la date où nous sommes rentrés?  C'est écrit sur la Passeport que nous avons dit à l'air bête qui nous a refusé l'embarquement.

On continue quand même l'opération Carta.  On a pas le choix, ça nous la prends sans faute.   Et c'est très très compliqué que d'obtenir ce petit bout de carton.  En fait, c'est une demande de Visa à voir tout les documents qu'il nous fait signer, les photocopie du passeport, les déclarations de ceci-cela.  Et le coût aussi:  600 pesos!  

Nous n'avons plus un rond en poche.  Il me reste 100 pesos.  A. doit courrir pour aller à un Guichet pour retirer l'argent.  Le tout terminé, je veux ressortir par là où nous sommes rentré.  Pas question.  Nous devons repasser à la "Policia", qui nous refouille encore.  Et nous courrons, qui sait?  Peut-être avons nous encore quelques minutes?

Retour à la porte 66:  FERMÉ!  Impossible d'embarquer!  que nous dit l'air bête qui nous a envoyé au Bureau de l'Immigracion.  Je le soupçonne d'être content de nos emmerdes.  Je ne le soupçonne pas, je suis certaine!

C'est samedi 1er juin, il est 1 h 20 le matin.  Nous sommes debout depuis vendredi 30 mai,  6 heures du matin.  Nous sommes fatigués! Épuisés! Stressés par tout ce chambardement et les courses au travers les corridors.

Assis sur les bancs où nous étions + d'une heure avant, j'ai le goût de brailler.  Putain de merde!  Qu'est-ce que je fais ici?  Que c'est-il passé?  Qu'est-ce qu'on fait maintenant?  À ce moment là,  tous les malheurs nous viennent en tête.  Mexico n'est pas reconnu être une ville sécuritaire pour deux étrangers.  L'Aeropuerto encore moins.  Prendre un taxi est une aventure qui peut se terminer en "prise d'otage".   On va où? On fait quoi?

À cette heure-là, dans la zone départ, il n'y a que les "nettoyeurs" et quelques passagers, qui comme nous, ont certes manqué leur vol.  Ils sont couchés sur le sol, quelques uns sur les bancs qui ne sont pas encore "couchés" par terre.  Et puis il y a nous, assis dans un coin tranquille.  C'est plus confortable par terre que sur un banc.  Et je suis découragée!

C'est le moment de détresse de ce voyage.  Nous avons vécus bien des histoires en 35 ans de voyages.  Mais celle-ci est très difficile à vivre.  Surtout au Mexique.  Nous sommes très fatigués.  Mais on ne se laisse pas "sombrer" dans le désespoir. On va en venir à bout qu'on se dit.

Je sais bien que de l'autre côté de la Zone départ, tout est fermé.  Alors on décide d'attendre 6 heures le matin pour retraverser et tenter de régler notre problème.  On se promène un peu, on va prendre un café au Starbuck, un croissant chocolat avec ça?  Et pi on se ré-assoit et pi on remarche encore et enfin, vient le 6 heures attendu.

Una Policia nous permet de traverser la zone.

Dès que nous sommes de l'autre côté, on voit que des "voyageurs" commencent à circuler.  Il y a de l'activité.  Les boutiques commencent à ouvrir.  

- Cherchons l'Agence de voyages - Aeromexico!

Et c'est là que la plupart de nos soucis ce sont réglés.

Problème numéro 1:  OUF!   il reste que 2 places pour le vol de Dimanche matin 1 h 20.  Et pas besoin de racheter un autre billet.  600 pesos chacun pour refaire un billet.

Problème numéro 2:

A. demande à l'Agent:  Y a-t-il un hôtel près de l'Aéroport?

L'agent:  Si, il en a un "dedans" l'aéroport.  Prenez la porte à gauche, longez le corridor, et à gauche toujours le NH Aeropuerte est là!



Quel BONHEUR!  Quel bel hôtel!  Nous voici dans une belle et grande chambre.  On va ENFIN DORMIR!

Ce que nous avons fait, mais que 4 heures.  Je crois que le stress nous tient "debout".  Nous avons bien du temps devant nous;  on va prendre le petit déjeûner, un buffet fort varié et savoureux.  Ensuite, comme l'Agent nous avait dit d'aller chercher nos valises, c'est l'occupation suivante.  Nous pensions le contraire.  Qu'ils étaient sur le vol manqué.  Et bien non, il faut aller au "Bagage Claim".  Une aventure encore.  Donde es le bagage claim?  On trouve, on récupère, on ramène dans la chambre, et à 20 h 30 on retourne au "Bagage Drop" et au "Check-in" pour s'enregistrer.

Ici, on se dit que l'aventure prendra fin sous peu.  On a le billet en poche.  La cri%%$$$##@@@@sse de CARTA de merde broché sur le billet.  Et c'est l'air bête d'hier qui nous l'a broché.  Qui nous a donné nos carte d'embarquement.  Inutile de vous dire que nous aussi on a notre air bête avec lui.  Je le déteste!

Et pi on attends le départ!

OUF! Quelle journée!  

Bien heureusement nous l'avons passée dans le calme et le confort.  Dans le luxe aussi.  Il est très luxueux le NH Aeropuerto.  Le restaurant est très bien.   Le Buffet International du soir est des plus savoureux.

Et à 23 heures, nous retraversons la zone, refouille de nos bagages cabines, et ENFIN...

à 1 h 20 nous prenons place aux 15 A et 15 B

ADIOS MEXIHO!!!!!!

BIENVENUE CANADA!!!!!

Il nous fallait récupérer l'auto au Marriott et retourner à la maison.  Je suis un peu inquiète, parce que en 48 heures nous avons dormi que 4 heures.  Le chauffeur parviendra-t-il a faire tout le trajet?  Pour faire une histoire courte, à l'Ange Gardien on a été obligé d'arrêté au Macdonald pour prendre un petit déjeuner mais surtout boire un CAFÉ.  A. a failli s'endormir.  C'est l'accotement...tsé?...quand tu le prends et ça fait un vacarme qui te réveille?  bin c'est ce qui nous a obligé à boire un café bien corsé.

En rentrant dans la maison:  direction LIT.  DORMIR.  Nous avons dormis quasiment durant 2 jours.

J'écris ce blogue mercredi 4 juin.  Ça fait donc 4 jours que nous sommes revenus.  Et ce n'est pas facile.  C'est pire que si nous étions en décalage horaire.  Porque?  Je ne sais pas.  On est vraiment tout à l'envers.

Nous devions reprendre un avion, le 12 juin prochain.  Pour le GABON.   Je ne crois pas que ça sera le cas.  A. va refuser...et pour toutes sortes de raison!  Je pense que je ne vais plus vous raconter des carnets "voyages affaires".  On commence à en avoir marre.  J'ai marre de payer de mes poches ces voyages.

On est là dans notre réflexion!  Voyager pour être réellement en vacances...et ensemble,  tous les deux.  Pas un qui travaille et l'autre qui fait tout pour s'occuper en attente du retour de son chevalier!

À suivre?