On n'y trouve pas
parade à ce déplaisant décalage horaire. Depuis dimanche tout est à
l’envers. Mais bon, il faut faire avec et attendre que notre horloge se
règle à l’heure québécoise. Et ce n’est pas facile! Nous
sommes samedi
ça fait déjà une semaine que nous sommes de retour et encore ce matin nous prenions notre petit déjeuner à 4 h 45. Tous les soirs au lit à 19 heures. L’horloge elle est vraiment déréglée. Accrochée au « mur » du Gabon?
ça fait déjà une semaine que nous sommes de retour et encore ce matin nous prenions notre petit déjeuner à 4 h 45. Tous les soirs au lit à 19 heures. L’horloge elle est vraiment déréglée. Accrochée au « mur » du Gabon?
Ah que cé loin le
Gabon. Je n'ai pas arrêté de le dire tout le long voyage. Nous
avons quitté le Méridien vendredi à 19 heures pour prendre un pot avec SG au
Tropicana avant le départ. (Une nouvelle découverte nous
concernant. Je l’ai noté dans mon carnet. Siiiiiiiii nous
retournons la-bas, cé certain qu’il sera dans notre tournée de resto.) Et
nous sommes entrer dans la maison le samedi 19 h 30. C’est 24 heures sans
dormir…bof disons 3 ou 4 heures en tout.
Comme nous devions
attendre 6 heures à Paris, et que j’avais de la place dans ma valise cabine
(place que j’avais prévu au départ) j’en ai profité pour faire mon
magasinage de cosmétiques à la boutique hors taxes. Pour la modique somme
de 195$ j’ai un rouge à lèvres, un mascara, un crayon khôl Yves Saint Laurent
et un mini-kit maquillage Clinique. Heureusement qu’il n’y a pas de
taxes! Je me suis aussi acheté un sac à main et pi une armada
de mini-magazines féminins. Mais j’ai aussi été obligé de m’acheter des
paquets de Kleenex parce que mon thermomètre interne n’a pas pris le changement
de température. Le nez me coulait et j’éternuais sans arrêt. Je ne
supporte pas passer du chaud au froid en moins de deux. C’est la rhinite
à tout coup. Et cé bin plate!!!! C’est donc kleenex en main
que je ne me suis pas interdit le magasinage. Pas question de rentrer
chez-moi sans mes produits Yves Saint Laurent. Mes préférés. Ici il
faut aller chez Holt Renfrew pour en acheter.
Le dernier vol,
celui Paris Montréal a été un supplice. Le pire jamais vu ni
connu. Des sièges tellement inconfortables et tellement coincés que
je n’arrivais pas à lire mon magazine. Je pense qu’il y avait 6 pouces entre le
dossier du passager avant et moi. Pour tourner les pages, je
devais soulever ledit magazine au-dessus du dossier du siège en avant de moi et
pi ensuite « l’accoter » sur le dossier en question. Plus
« collé-serré » que ça on te mets en canne. Et que dire des
repas? Beurk! En fait c’était le même menu qu’il y a deux
ans. Même chnoute immangeable. La première chose que nous avons
fait en mettant les pieds dans notre chaumière? On s’est fait des toasts
au beurre de pinotte… Ça’r’met’l’canayen ça j’vous le jure!!!
Et nous voilà de
retour dans notre routine. Dès lundi matin je suis allée au
garaaaaaage faire poser mes pneus d’hiver. Heureusement il a attendu
notre retour pour s’installer l'hiver en question. J’étais bien contente de ne pas voir de
neige en sortant de l’aéroport. Le choc est moins fort. Quant à Noël
je vous dirais que nous ne sommes pas « dedans » mais vraiment
pas. Entendre les chants de Noël à la radio, voir les décorations dans
les magasins nous laisse indifférents. Hier nous avons acheté un joli
sapin tout doré tout illuminé, mais rien y fait, nous avons encore les palmiers
dans les yeux.
C'est sur ce
dernier chapitre de mon Roman Librevillois 2008 que je vous souhaite de très
joyeuses fêtes!
Je termine sur
cette phrase entendue au Lycée Basile Odimba:
«Une femme n'est
ta femme que lorsqu'elle est à la maison»
à la prochaine?