DAKAR le 9 mars
2010
J’ai mis du temps
à écrire mon premier récit. Je me suis donné le temps de « me
défriper ». J’avais oublié que la route, qui nous mène vers
l’Afrique, est longue, épuisante et « fripante ». Le vol Montréal
Paris Dakar me l’a rappelé. Si je compte bien, c’est quasiment 38
heures « debout ». Je dis debout, parce que le confort de
« l’Espace Tempo », ça pi debout c’est pareil. Un
événement inusitéau-dessus de l’Atlantique; qui nous a réveillés et tenu éveillés: