LUNDI 7 AVRIL 2008
Esta mi ultima
semana. Soy muy triste! Avant de commencer, je dois faire une correccion, me
disculpe; je ne dois pas escribir mi nombre : LaMayor mais LeMejor. Mayor veut
dire plus et Mejor veut dire mieux. Bon, je sais bien que je pourrais écrire
los dos : Lamayormejor, (la plusssssssmeilleur) mais bon, soyons humilde
(humble, une de mes grandes qualités) et utilisons celui qu’on m’a donné à ma
naissance. Ssssssusssssannna LeMejor.
Où allons nous
aujourd’hui?
Nous commençons par le deuxième tour du fameux du Turibus. Sabado, nous l’avons repris pour aller au Zocalo. Vous vous rappelez? Le Zocalo, c’est le CENTRO. Le centre-ville des rues de boutiques de tout genre mais aussi le centro historico : Catedrales, Palacios, Hosteles, y otras vieilleries en quoi? En pagaille! Ma primera interès de la dia es de comprar mi régalo d’anniversaire. Le 15 marso passado, je vieillissais d’un an. J’avais dit à A. de ne me comprar nada à Sherbrooke : tu me l’achèteras à Mehhhhhico. C’est fait.
Nous commençons par le deuxième tour du fameux du Turibus. Sabado, nous l’avons repris pour aller au Zocalo. Vous vous rappelez? Le Zocalo, c’est le CENTRO. Le centre-ville des rues de boutiques de tout genre mais aussi le centro historico : Catedrales, Palacios, Hosteles, y otras vieilleries en quoi? En pagaille! Ma primera interès de la dia es de comprar mi régalo d’anniversaire. Le 15 marso passado, je vieillissais d’un an. J’avais dit à A. de ne me comprar nada à Sherbrooke : tu me l’achèteras à Mehhhhhico. C’est fait.
En passant devant la boutique Bulgari, une Lunetterie haut de
gamme, une paire de lunettes de soleil m’a interpellée! Comment résister devant
des Versace, qui après essai, tu te rends compte que c'est LA paire. –Tu ne veux pas en essayer
d’autres? No, c’est celles-la. La signature Versace bien évidente « en diamants
» qui «flash» sur les côtés c’est en plein mon genre! A es afortunado,
hoy un descuento de 20% sur des lunettes à 3990$ (pesos). Les Versace, après
négociacionnnnn de la fêtée, ne lui coûteront queeeeeeee 3195$ (pesos). Una
ganga (aubaine), considérant qu’à Paris j’en avais vu à 375 Euros. Va sans
dire, la fêtée « faisait sa fraîche » dans les rues du Zocalo avec ses Versace.
Malgré la teinte foncée des verres, cela ne m’a pas empêchée de voir, dans una
otra vitrine de una boutica de zapatos, des sandalias que estan muy linda!
Comme je n’ai pas trop d’espaces libres dans ma « grosse poche qui fê dur », je
me suis contenté queeee de dos paires. Faut dire qu’au SUBURBIA, j’en ai aussi
acheté une autre. (Je suis comme Imelda Marcos et Céline Dion, j’achète des chaussures!). Et pi
une roba, et pi una ticheurte. Et pi aussi au ZARA, dos ticheurtes. Et pi au
mercado, una bolsa con la photo de Frida dessus. Vous voyez que la grosse
poche, si je continue, elle ne zippera plus?
Cela étant dit, il
est midi, y tenomos hambre! Entonces, nous nous attablons au Grand Cafe. Mais
ici hay problema. Comme c’est ma fête, je ne vais tout de même pas boire une
vulgaire cerveza avec des lunettes Versace sur le nez. No way! Donc, je regarde
la liste de « bebidas » (breuvage) et elle est tellement longue (je pense qu’il
y en a une 60taine, voire plus) je n’arrive pas à faire un choix. « Quand
j’étais jeune », j’ai eu des périodes « drink » de tout genre. Pour en citer
quelques-unes, il y a eu celle du Téquila, du scotch sur glace, du campari-soda
et j’ai eu aussi une longue période « Pina colada », tiens, c’est ce que je
prends. Ohhh agradable sorpresa! una Pina colaaaaaada à Sherbrooke et una à
Mehhhhhhico no es igual. À Mehhhhhhico, c’est du vrai pina, pas du jus delmonte
à l’ananassssss. C’est tellement délicieux, que le soir venu, El Maestro
Laflamme et la Senora LeMejor étaient au Manager’s reception, pour la première
fois du séjour et buvait du Pina colaaaaada avec un morceau de pina sur le
borde de la copa por favor.
Revenons au Zocalo : rassasié de fajita con pollo,
nous reprenons le Turibus et le « vent en poupe » direccion el quartier
POLANCO. Ici on dit « Polanski » parce qu’il y a beaucoup de juifs qui y
habitent. À l’arrêt de bus, au diable les boutiques Chanel et autres, nous
restons bien assis, il est 16 heures, « on né fatiqué » et pi anyway je ne vais
pas m’acheter une paire de sandales PRADA, (j’ai pas les moyens de Céline)
entonces nous continuons le tour et rentrons a la casa.
Nous sommes
la noche del sabado et mon jour de fête continu. El Maestro me dit que nous
allons souper au Evita, le très zen resto Argentin du Embassy. Le jour de ma
fête, me desculpe, je ne regarde jamais la colonne de droite du menu. Queeeeee
la colonne gauche. Que tomar? La carta de vino por favor. Miss Versace, de son
air « très classe » pregunta au somelier – Que tu me aconsejar? Il dirige son
doigt vers la ligne du SERAFIEL Adobe de Guadalupe. J’ai triché. Muy
discrètement, j’ai regardé la colonne de droite. Bof! Cé pas graaaaave, cé ma
fête tchiquetchique VISA : buvez maintenant y payez mas tarde…No Problema! Je
ne vous film pas ce que nous avons mangé, ni la cuenta (facture), mais l’Evita,
cé caro, pero la cocina Argentina, sobre todo la carne, es mas de muy bueno.
Feliz cumpleanos Sssssusssssana!
Je fais une pause
: Observation restaurant/Classement fourchettes :
Depuis que nous
sommes ici, au fil des sorties restaurants, nous sommes en mesure de faire le
classement d’après les « napkins », les napperons desdits restos : 4
fourchettes : Le serveur en prenant le coin, déplie le napperon en tissus et,
d’une volée, le dépose sur nos genoux. 3 fourchettes : Il y a des napperons en
tissus, mais tu fais la djob toi-même. 2 fourchettes : Il y a des grands
napperons en papier. 1 fourchette : Il y a un paquet de napperon sur la table,
tu fais ce que tu veux avec. (Il m’est arrivé de me moucher ha ha). 0 fourchette :
Tu demandes « napkins por favor? »
Domingo,
Hhhhhérarrrrdo et Claudia sont venu nous chercher à 8 heures 30. Au Mexique,
l’heure change comme avant chez-nous, el primero domingo de abril. Nous avons
donc perdu une heure. Pour la première fois, nous sortons de la ciudiad pour
une « bouffée d’oxygène ». C’est à 140km d’ici donc à + ou - 45 minutes . Ça
c’est « à la Mexicaine ». À la Canadienne, c’est à 280 km d’ici et à + de 2
heures d’autoroute. Destination du jour : QUERETARO (Santiago de Queretaro) et
SAN MIGUEL DE ALLENDE.
Un p’tit cours
d’histoire? Queretaro inscrite en 1996 au Patrimoine Mondial de L’Unesco (cé
pas petit’affaire) est reconnu pour être le cœur d’un complot connu (non pas de
moi mais des Mexicains) sous le nom de « conspiracion de queretaro » qui
aboutira à l’indépendance du pays au 19ieme siècle. Date où l’épisode Impérial
y a pris fin. L’Empereur Maximilien y a été exécuté le 15 mai 1867. Queretaro
était la capitale provisoire du pays. La constitution y est signée en 1917.
Interessante no? J’arrête ici, je n’en sais pas plus.
Je sais par
contre, que nous sommes à 1880 m d’altitude. Ici, comme à Mehhhico, on a le
souffle court, mais l’air est bon. Ici aussi, comme partout, nous passons
devant des Monasteres, Couventes, dont celui de Santa Cruz et otras Palacios,
enfin encore et toujours de ses somptueux monuments historiques. Après deux
semaines en notre compagnie, Gerardo a compris que, comme dit Virginie à
Marilou qui a 3 ans, devant mes bibelots: « on regaaaarde, on touche pas » Ha ha. C'est ce qu'on fait, On «
touchera » lors d’un autre séjour. À l’entrée de la ville, nous passons sous
une imposante structure, une immense arcade de pierre qui me paraît bien haute
et bien longue. Hhhhérrrraardo que es? Es un Aqueduc, construit en 1735, il y a
74 arcades de 23 mètres de hauteur, et qui s’allonge sur plus de 1280 m. Voilà
pour Queretaro la coloniale.
Maintenant, allons
à l’otra Queretaro, la moderna, ou depuis quatro anos l’expansionnnnnnn se fait
à haute vitesse. G. dit que nous sommes au quartier JURIQUILLA. Les «
chilangos » (les habitants de Mexico) tannés de la pollution et du trafic bien
emmerdant et bien sûr ceux qui en ont les moyens développent et construisent à
gogo. De loin on ne voit que du blanc. Mais ce n’est pas de la neige, c’est une
agglomération de belles Villas blanches, lofts et condos. Tout est nouveau et
bien architecturé : des parques, un Golf, avec juste en bas un lac et des
écoles et des Universités et des restaurants, enfin bref, pour les deux «
chilangos de Canada » c’est LA SEDUCCION TOTALE! El flechazo! Le coup de
foudre! Rien de moins.
Je dois vous
dire qu’André et moi avons devant nos yeux, des images bien familières qui nous
ont fait rêver à Mohamedia (Maroc) ou à Gamarth et Hammamet (Tunisie) par
exemple, et où nous nous étions exclamés : Cééééé t’ici que je prendrais bien
ma retraite! Hé bien à Queretaro? Même exclamation. Je précise : s’il y a
retraite bien sûr! Les goûts ne sont pas à discuter. G. dit que c’est trop
« plastic » et que c’est mieux à quelques kilomètres plus loin, au village
natal de sa mère, où c’est plus rustique et moins cher et… où il a un terrain!
On verra le temps venu mon cher Hhhhhérrrrrardo. Pour este momento, c’est
drette là que nous installons nos pénates! Tu vois cette très jolie Villa juste
en face de nous? C'est celle-là! Pas ailleurs!
Je fais une
petite parenthèse. Quand nous « planifions notre retraite » (si retraite il y
a) je devrais dire quand nous "parlons" de retraite, des points bien
importants sont à considérer pour l’escale entre la résidence et le « foyer
pour tivieux » : outre le confort, le décor, la facilité de vivre, il y a aussi
« boire du vino tinto ». Qu’esssssse-vous voulez, on aime ça! Contrariamente à
nos contrées maghrébines où boire de l’alcool cé péché, surtout pour une dame; au Mexique ça l’est
pas. On est catho ici. Et Jésus n’a-t-il pas transformer l’eau en vin? Bin
voilà! Quoique les Mexicains sont plutôt cerveza ou tequila, du VINO on en
fabrique, importe-exporte, vends et boit! D’ailleurs, chez-nous nous achetons
souvent le délicieux L.A. CETTO / Petite Syrah. Or devant ce fabuleux décor,
nos contrées maghrébines s’effacent : à Juriquilla nous serions muy feliz! un verre de vino rosso en main! Y’a
TOUT : centro commercial, supermercado, bistros, cafés, restos, boutiques de
tout genre, bref cé la place. Comme dit mon amiga Paulina : Que demande le
peuple? …..« Allez viens prendre un p’tit couououououp à la maison! »
Marco, el amigo de
G. qui y habite, et chez qui nous sommes présentement, nous dit qu’en plus
c’est très sécuritaire : no violencia, no secuestro, nada! Muy interessante!
Pero, quand A. a demandé à Marco combien coûte sa superbe Villa et que la
réponse fut 400,000$ US on a un peu désenchanté. Mais Marco nous rassure. Pour
150,000$ il y a de très jolies petites Villas. Fiou!!!!! Et il nous a fait faire
le tour. Ahhhh yaille yaille! Qu’on me prenne en otage…et por favor ne demandez
pas de rançon!!!!
Après les
exclamations d’usage : Ahhhhhh que céééééé beau! Je déménaaaaaage la semaine
prochaine! Après un fastueux brunch au « Mision Juriquilla », une imposante
Hacienda du 18e siècle transformée en un luxueux 5 étoiles; nous reprenons la
route 57 direccion SAN MIGUEL DE ALLENDE. (En passant, les autoroutes sont
comme chez-nous. Des bouts sont « bringuebalants », d’autres ça roule très
bien.) Déclaré « Monumento Nacional » en 1926, ce « coin de pays » fut occupé
en 1542 par les Conquistadors Espagnols et c’est un Franciscain, Juan de San
Miguel qui y a établi la première ville « San Miguel ». En 1826, on ajoute «
Allende » en l’honneur de Don Ignacio de Allende, la « tête » de l’armée du
Père Hidalgo, et c’est ce Allende qui a libéré cette ville du joug espagnol.
Voilà pour le curso numero dos del Historia de esta ciudad! Vous voyez qu’après
dos semanas, mon ignorance s’amoindrit.
Vendredi, G. dit à A., « domingo je te montre un endroit où beaucoup de retraités
canadiens viennent passer l’hiver ». Ma première pensée? « Ahhh non on va voir
des Ticounois zzzzé des Ticounoises? ». Cette ville est construite à flanc de
colline et elle bénéficie toute l’année d’un climat doux, et sin pollution
oblige, le ciel est clair et pur! En y entrant, j’ai compris pourquoi les
retraités choisissent ce coin. Comment dire, c’est SUPER-BEAU! tout simplement. Nous sommes
vraiment au Mexique à San Miguel, le charme colonial y est très bien conservé :
murs roses, jaunes, ocres. TOUTE la ville, (150,000 habitants), est d’un charme
fou. Églises baroques, fontaines, calles en pierre et trottoirs en dalles avec
des petites places ombragées sous les jacarandas où on peut s’asseoir sur des
bancs. Je rêêêêêêve! C’est comme on voit dans les films. En marchant dans les
petites calles, je remarque que toutes les portes sont en bois sculptés. À les voir
j’imagine que certaines date du siècle dernier, tellement elles sont usées mais
au combien fascinantes. J’ai envie de les ouvrir, pour découvrir les jardins
secrets de ces belles demeures. Dans ma Villa de Juriquilla, j’en aurai une, cé
sûr, pour cacher mon jardin intérieur dans lequel vous ne verrez queeeee des cactus!
Nous sommes tout de même chanceux,
certaines de ces belles portes nous sont permis, nous entrons dans de belles boutiques, des galeries d’art.
Ahhh vraiment je comprends pourquoi c’est si populaire San Miguel. C’est animé,
agréable, charmant, rien n’y manque. Ici foisonne des boutiques d’artisanat,
d’antiquaires, d’écoles d’art, des bistros, des restaurants « haut dé gamme »
comme dit mon amigo… et j’en passe. À chaque pas, il y a de quoi s’extasier. On
ne voit pas que des turistas mais aussi beaucoup de résidents de la place. De
simples Mexicains chanceux d’y avoir une maison. Il fait 35 degrés, y fâ chô,
nous montons où domine la Parroquia de San Miguel Arcangel, une immense
Catedral avec sa façade néogothique et le plus intéressant pour ceux qui ont
chaud; il y a un charmant parc où, sous les nombreux figuiers taillés comme des
parasols, (l’arbre à palabre comme disent mes Africains) sur des bancs en
fonte, paressent ou jacassent des Mexicains et turistas et enfin, nosotros.
Comme ma
culture s’épanouit de ville en ville, je vous glisse un mot sur cette
majestueuse Cathedrale? On dit que l’architecte s’est inspiré d’une carte
postale d’églises Européennes, celle de Barcelone et de Cologne pour la
construire. Ici, comme devant toutes les « vieilleries » on « regaaaaarde on touche
pas ». On s’asseoit sous un « parasol » et on mange un helado de fresa y limon.
Et pi après on prend des photos, on va faire un p’tit tour dans les boutiques
d’artisanats, on va au Starbucks Cafe, mais là, en y entrant, c’est la
séduction. Ouf! il s’est surpassé le Starbucks. Il n’a pas du tout l’allure de
tous les Starbucks de ce monde. Il s’est installé dans une vieille résidence du
19e, (il n’avait pas le choix il n’y a que ça ici) avec sa cour intérieure et
des arcades. Dans la cour, autour de la fontaine, il y a une exposition de
meubles de terrasse. J’ai choisi mon parasol pour mettre sur le patio de mon
jardin intérieur, de ma petite Villa de couleur ocre de Queretaro. Ici « on
touche et on regarde » mais on boit pas de café, ici on fait pipi, on se lave
les mains et l’on retourne dans les boutiques.
Il est 16 h
30, not'amigo depuis le début est toujours étendu sous le parasol sur un banc du
jardin de la Catedral. El Maestro veut s’en aller et moi tambien. Nous
remarquons, qu’en altitude, la fatigue nous rattrape plus facilement. C’est
ainsi quand on marche à Mehhhhico, ainsi aussi à San Miguel. Nous avons tout le
temps le souffle court, le nez sec et la gorge sèche. Tener sed? Siiiiii. Arrêt
au garage Premex, il y a un « dépaneur ». Que preferir Sssssusssssana? Be Light
sin calorias a sabor de limon! Y El Maestro? Ciel limon sin gas!
Mais dis
donc amigo, je n’ai pas vu de « Ticounois zzzzé de Ticounoises » à San
Miguel. Ce sont surtout les Canadiens de l’Ontario qui viennent passer l’hiver
à San Miguel de Allende. C'est bien! Qui sait? Un jour peuplerons-nous de notre illustre
présence cette toute charmante place? A continuara! Au retour à la ciudad, nous
avons mangé dans un très joli restaurant d’URUGUAY dans le quartier CONDESSA.
J’ai appris que jadis, le Condessa était l’hypodrome d’une Comtesse. C’est
pourquoi on l’appelle « Condessa ». Et comme à chaque fois que nous sommes
confronté à notre triste sort : « SALUD » nous avons trinqué à notre triste
sort.
MERCREDI 9 AVRIL
2008 DÉJÀ!!!!
Il fait toujours
très beau, très chaud. Les Mexicains disent que c’est anormal cette chaleur
extrême, ces 35 degrés. Nous on ne s’en plaint pas mais pas du tout. C’est
chaud et sec; très différent de Libreville, Casa, Tunis. Comme à chaque séjour,
une petite déprime s’installe de jour en jour. Nous sommes bien, nous n’avons
pas le goût de repartir. Repartir vers Juriquilla? Siiiiiii. Mais vers
Sherbrooke? Bofffffff!. Hier, A. avait un souper très
important avec des Directors très importants. Il fallait donc que je mange
toute seule. J’ai donc mis mes sandalias et je suis allée au Reforma222. Il y a
un p’tit restaurant Italien, le SPOLETO. Le menu se choisi en 3 étapes : Uno tu
choisis les nouilles, dos tu choisis 8 ingredientes et tres la sauce. Mon choix
fait, je passe à la caisse. Bordel de meeeeerde je n’avais que 40 pesos dans ma
poche. Ooooopsssss! - Possible pagar con tarjeta credito? Si. FIOUUUUUUU! Le
pire c’est qu’A. est parti ce matin, et j’ai toujours queeeeeee mes 40 pesos
et pi ma Visa qui expire le 05/08. J’ai toujours peur qu’on me dise que ça ne
passe pas. A. est obligé d’utiliser son American Express, porque la sienne
verdad, elle ne passe pas. Yé temps qu’on parte!
Comme il n’y a pas TV5 Monde à
la télé, j’ai regardé Oprah et j’ai lu. Ça nous manque TV5. (J'ai suggéré à la Directrice du Embassy de s'y abonner.) Beaucoup de postes
espagnols et beaucoup de news américaines. Et les postes espagnols, j’vous dis
pas, c’est d’un ennui! C’est la première fois que je n’ai pas le temps de lire
un livre. Ce n’est que cette semaine que je l’ai commencé mon roman. Le matin, je vais au
SPA et ensuite je me rafraîchis dans la piscine et despuès je m’étends sur la
chaise longue et je lis. Et je recommence la ronde : SPA-Piscine-Chaise-Livre!
J'y suis toute seule la plupart du temps. Hier matin, il y a vait une petite
fille qui sautait sans arrêt. Elle me dérangeait: Je suis montée à la chambre,
faire Le Budget. Tchiquetchique a beaucoup tchiquétchiqué! Viernes je n’aurai
plus de connexion internet. Voilà, vous m’avez encore une fois accompagné au Mexique. J’espère que le
voyage vous a plu? Je vous joins quelques photos, mais elles ne rendront jamais
ce que les yeux on vus GRANDEUR nature! Hasta Pronto! Ssssssussssssannnnna!